Instituts vaccinogènes

Cette page a pour but de recenser les instituts vaccinogènes en France et à l’étranger, et les pistes pour retrouver leurs archives. Voir aussi Vaccin animal. L’ouvrage de Bollinger en 1879 apporte un recensement, et l’article de 1886 de Jules Arnould le complète. Ce dernier ne semble pas aimer les instituts privés (celui de Warlomont vient de passer du statut privé au statut public…) : « Il en existe à Paris, ceux de M. Lanoix et de M. Chambonhttp://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6112485t, avec un recensement très complet de 1889, Tours n’étant pas mentionné. Pour les Instituts vaccinogènes français, voir aussi la circulaire du 25/1/1907 (voir thèse Assémat).

== France métropolitaine ==

Arrêté du 30 mars 1904 concernant la tenue et le contrôle des établissements vaccinogènes http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5451317z.r=vaccinog%C3%A8nes.langFR

 »’Paris »’

Institut de Vaccine Animale de Chambon (et Lanoix), au 8 rue Ballu à Paris, créé en 1864, qui passa ensuite aux mains de Saint-Yves-Ménard puis des frères Fasquelle. Ils rachetèrent l’Institut Vaccinal de Tours en 1931. Ils devinrent ensuite « Institut de Vaccine ». Disparut dans les années 1960 ou 1970

Je me demande s’il n’y a pas eu d’un côté l’Institut de Vaccine animale, fondé par Chambon, et l’Institut vaccinal de Paris, fondé par Lanoix, ou s’il n’y a pas eu scission.

Institut du Dr Doucet à Paris. Vers 1886-1895 ? Sans être explicitement mentionné, le rapport de 1889 fait état de plusieurs instituts privés à Paris http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6112485t. Cet Institut n’est pas mentionné dans la circulaire de 1907.

Service de la vaccine de l’Académie de Médecine, devenant Institut supérieur (1905 ou 1906) de Vaccine. Tenu (traditionnellement ?) par des obstétriciens, il fut mis en place par Depaul en 1866 et poursuivi (mollement ?) par Blot puis par Hervieux, il dut subir une réorganisation en 1889, date où est officiellement créé l’Institut vaccinal de l’Académie. Il n’est pas certain qu’une production de vaccin fût assuré sur place, le vaccin de génisse utilisé provenant le plus souvent de l’Institut Chambon. La loi de 1902 et l’arrêté de 1903 lui imposèrent d’être Institut supérieur de vaccine et d’entretenir la semence vaccinale. Kelsch en devint le Directeur général. Y travaillèrent Lucien Camus, Wurtz, Teissier, Tanon et André Liot. Lucien Camus lui succéda, et à son tour Bénard en 1935.

Voir aussi : Du Mesnil, Octave. La variole à Paris et la création d’un institut vaccinal public. Ann. d’hyg. 1887, xviii, 32; 225. Du Mesnil, O. Projet de création d’un institut vaccinogène et vaccinal à Paris. Ann. d’hyg. 1888, xix, 412-420 et Du Mesnil, O. Institut vaccinal et vaccinogène de Paris. Progrès méd. 1889, ix, 312-316. La municipalité de Paris ne vota pas la création de cet institut (cf. http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6112485t).

Institut vaccinal du Dr Samuel Bernheim dans les années 1890, non mentionné dans la circulaire de 1907. Aurait-il succédé à Doucet ?? Rien ne le laisse penser, sauf les dates qui pourraient correspondre.

Institut vaccinal du Dr Paul Barlerin, mentionné dans la circulaire de 1907. Il est assez probable que Barlerin succéda à Bernheim

On peut faire l’hypothèse que l’Institut privé DoucetBernheimBarlerin, s’il s’agit bien d’un unique institut, ou que l’un d’eux se soit spécialisé dans la fourniture de pulpe vaccinale glycérinée aux pharmacies et aux grossistes alimentant les pharmaciens. Par exemple, dans le Journal de l’Accoucheur en 1909 (fonds Watier D012P), édité par « Le Parfait Nourricier », il est question du « Vaccin de génisse du Parfait Nourricier » dont on ne voit pas bien d’où ça peut venir si ce n’est d’un Institut vaccinal.

 »’Province »’

Casimir Rougier à Marseille vers 1868-69

Service municipal de Nice (avec semble-t-il une production locale de vaccin de génisse vers la fin des années 1870 ou début 1880), voir Ciaudo

Institut vaccinal Pourquier à Montpellier, créé par Pierre Pourquier en 1878 (ou 1879). Société maintenant spécialisée dans le diagnostic vétérinaire (tests sérologiques), et dirigée par Jean Pourquier http://www.institut-pourquier.fr/societe.php. Mentionné en 1907

Institut municipal de Bordeaux, créé en 1881 par Alexandre LayetBaillet . Mentionné en 1907.

Institut vaccinal municipal de Lyon, créé vers 1882-1883 par Ernest Chambard et surtout Alexandre Leclerc, ainsi que Louis Bard. Mentionné en 1907

Institut vaccinal de Saint-Etienne (mi-municipal, mi-départemental), de 1884 à 1908, fondé par Pierre Labully. Mentionné en 1907.

Institut départemental du Nord à Anzin, avec L. Laurent, vers 1887-1888. Puis celui d’Albert Calmette et de Camille Guérin à l’Institut Pasteur de Lille. Cet institut n’est pas mentionné dans http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6112485t. Mentionné en 1907.

Institut vaccinal de Toulouse, mentionné en 1889 dans http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6112485t, mais pas en 1907. Erreur ?

Institut Vaccinal du Dr. Edmond Chaumier à Tours, a priori créé en 1887 (ou 1889 ?) ; non mentionné dans http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6112485t

Nantes s’interroge sur la création d’un office vaccinogène public en 1888 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5449802f, éventuellement régional… Mais ils ne semblent pas avoir franchi le pas !

Institut vaccinogène municipal de Marseille, avec Ernest HuonFlaissières. En 1907, il est mentionné comme Institut départemental des Bouches-du-Rhône

Institut du Dr. Fournac (privé) à Marseille, mentionné en 1903, mais n’apparaissant pas dans la circulaire de 1907.

Institut du Dr Traversier à Grenoble, mentionné dans la circulaire de 1907. Fondé après 1902 si on se réfère à l’installation du Dr Traversier à Grenoble. Néanmoins, un Institut Sérothérapique et Vaccinogène de Grenoble, situé au « 2, Hôtel de la Cité » (municipal ?) existait en 1897 et 1900 selon des courriers et des factures (FW D035P et D155P).

Institut de Perpignan, actif dès 1893 et mentionné dans la circulaire de 1907, voir Delhoste

== France outre-mer ==

Pas tout à fait français, l’établissement vaccinogène de Constantinople, fondé par J.B. Violi en 1882

Office vaccinogène de Saint-Pierre à la Martinique, créé par arrêté en 1888

Institut vaccinogène de Rabat

Centre vaccinogène de Tunis à partir de 1894, voir Adrien Loir puis Charles Nicolle

Centre vaccinogène de Saïgon (Institut Pasteur) pour l’approvisionnement de la Cochinchine, du Cambodge
et du Laos. Créé en 1890, rattaché à l’Institut Pasteur de Paris en 1904. Voir Calmette. Puis passe sous la direction de Yersin, le directeur de l’Institut Pasteur de Nhatrang.

Institut vaccinogène du Tonkin (L’Institut vaccinogène de Thai-ha-ap, près de Hanoï), qui fournit le Tonkin, l’Annam et la plus grande partie des postes consulaires. Créé en 1904. Voir http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5844261n/f153.image.r=vaccinog%C3%A8ne.langFR. Voir Gauducheau

Parc vaccinogène installé à Xieng-khouang (station vaccinogène du Tran-ninh, placée sous la direction d’un médecin de l’ambulance de Xieng-khouang), pour le haut-Laos (créé en 1905)

Centre vaccinogène de Brazzaville

Parc vaccinogène de Kindia, en AOF. Voir Trautmann

Centre vaccinogène de Diégo-Suarez, voir Boucher

Centre vaccinogène de Nouméa

Institut vaccinogène de Tananarive ; idem Institut Pasteur de Madagascar ?

== France militaire ==

« On avait d’abord décidé que, dans les villes de garnison, le médecin-chef inoculerait une génisse, qui servirait à vacciner les jeunes soldats des divers corps, au moment de l’arrivée des recrues. Cette génisse devait fournir également le vaccin desséché, en tubes ou en plaques, nécessaire aux formations de campagne ou à l’approvisionnement des places fortes. Mais on a voulu centraliser davantage encore le service de la vaccine : on ne saurait admettre qu’un homme, quelle que soit sa situation, passe par l’armée sans être fraîchement revacciné. Le 21 novembre 1888, on a créé cinq Instituts vaccinogènes militaires : au Val-de-Grâce, à Châlons, à Bordeaux, à Alger et à Philippeville. Ces établissements fonctionnent en permanence, et sont à même de fournir aux médecins des corps de troupe le vaccin nécessaire à une époque quelconque de l’année. Le produit fourni par ces instituts est la pulpe glycérinée. » http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5725154p/f103.texte.r=vaccinog%C3%A8nes.langFR. Voir aussi publication de Vallin en 1887, et le Bulletin officiel du ministère de la guerre, 1888, n°63, p.878.

Centre vaccinogène de l’armée au Val-de-Grâce. Créé en 1884 par Vaillard. Voir aussi Frédéric Antony mais probablement pas Kelsch. Au départ en tout cas, ce centre ne fonctionne que par intermittence, seulement pour les campagnes de vaccination des recrues.

Voir Longet à Orléans et Breton à Montargis en 1885

Centre vaccinogène du 12ème Corps à Limoges, voir Paul Descosse

Centre vaccinogène du 6ème Corps, au camp de Châlons, voir Dauvé.

Centre vaccinogène de l’hôpital militaire de Bordeaux

Centre vaccinogène (militaire) d’Alger (à l’hôpital militaire du Dey ?), pour les divisions d’Alger et d’Oran ; voir Alfred LironBerthoud

Centre vaccinogène de Philippeville, pour la division de Constantine et la Tunisie

Centre vaccinogène de l’hôpital militaire Desgenettes à Lyon, voir Marotte

== Belgique et Luxembourg ==

Institut Vaccinal Belge d’Evariste Warlomont à Bruxelles, fondé en 1865. Il s’est mué en Office vaccinogène de l’Etat entre 1882 et 1886, et c’est Alphonse Degive qui en a pris la tête

Office vaccinogène communal de Bruxelles de Janssens et Van Hertsen, fondé en 1871

L’institut vaccinogène militaire d’Anvers fondé en 1882 par Félicien Riemslagh, auprès duquel se fournira Titéca

Institut vaccinogène du Luxembourg, voir Charles Siegen

== Italie ==

L’ouvrage de Ciaudo (1882) donne un état des lieux assez complet pour l’Italie (fonds Watier C157L)

Institut vaccinal de Naples, où naquit le vaccin animal. La transmission de bovin à bovin ne date en réalité que de 1849. Voir Galbiati et Negri, ainsi que Palasciano. Voir aussi Margotta. Voir aussi Fidi et Benevento pour le Vaccinogeno di Napoli.

Bologne, 1868, voir Belluzzi

Institut de Milan, 1869 ; Sur cet institut, voir aussi l’ouvrage de Bollinger (fonds Watier C011L), en p.155. Voir aussi http://books.google.fr/books?id=Bh5AAAAAcAAJ&pg=PA512&dq=Institut+vaccinal+de+Milan&hl=fr&sa=X&ei=bEH_TsyMI9Ku8QOihsi5Aw&ved=0CD8Q6AEwAQ#v=onepage&q=Institut%20vaccinal%20de%20Milan&f=false. Voir Grancini pour le comité de vaccination animale de Milan, et par ailleurs (?) Verardini

Bergame 1869, voir M. Galli

Sinigaglia, 1869, voir Sapigni

Ancône, 1870, voir Orsi

Foggia, 1870, voir Della Martora

Gênes, 1870, voir Domenico Bomba pour le comité ligure de vaccination animale

Venise, 1870, voir Carlo Calza

Arezzo, 1870, voir Sforzi

Udine, 1870, par Perusini (IndexCat non informatif)

Vérone, 1870, par Saggini & Cabassi (IndexCat non informatif)

Vicence, 1871, voir MarchettiCarli

Turin, 1871, par Giovanni Spantigati (-1891) et E. Lace (IndexCat non informatif).

Rome, 1872 d’après Ciaudo. Mais qui l’a fondé ?? Leoni n’a été directeur de l’Institut privé de Rome qu’en 1883 (jusqu’en 1888). A quelle date devient-il succursale de l’Institut Vaccinal du Dr. Edmond Chaumier à Tours ? Dirigé par le Dr. Dante de Blasi.

Institut vaccinogène d’Etat de Rome, voir Pagliani et Ottavio Leoni, à partir de 1888

Istituto Sieroterapico e Vaccinogeno Toscano fondé par Achille Sclavo à Sienne, à partir de 1904. L’institut existe encore (devenu Sclavo Diagnostics) http://www.sclavodiagnostics.com/eng/storia.asphttp://www.novartisvaccines.it/chi-siamo/storia-fondazione.shtml. Voir de plus près les liens qui l’unisse à Novartis et à Chiron. Un ouvrage a été publié à l’occasion du centenaire de cet institut http://www.francoangeli.it/Ricerca/Scheda_Libro.asp?ID=12471&Tipo=Libro&titolo=Cittadella+della+scienza.+L »Istituto+Sclavo+a+Siena+nei+cento+anni+della+sua+storia+(1904-2004). De façon assez étonnante, Sclavo Diagnostics a établi récemment un partenariat avec la firme Clinical Data qui est titulaire des licences sur nos brevets… http://investor.clda.com/releasedetail.cfm?releaseid=237511.

Istituto Sieroterapico-Vaccinogeno de Pavie, dirigé par Camillo Golgi, célèbre histologiste

== Suisse ==

Institut vaccinal suisse de Lancy-Genève, voir Haccius et Eternod (liens avec Jeanneret ?). Fusionne avec Berne ensuite

Institut vaccinal de Lausanne, voir Félix.

== Allemagne ==

Voir livre de Bollinger. On parle de Impfanstalt, Etablissement vaccinal. Les soldats prussiens semblent avoir moins pâti de la variole pendant la guerre de 1870 ; ce n’est pas si certain car la vaccination animale n’y était pas si répandue. Dujardin-Beaumetz en 1889 dit que l’armée allemande remporta dans ses foyers la variole, et la maladie fit des ravages de 1870 à 1874 (mortalité annuelle de 252 pour 100.000 habitants). C’est seulement à partit de là que l’Etat allemand réagit. Une loi rendant la vaccine obligatoire fut votée au Reichtag le 8/4/1874 et rendue exécutoire dans tout l’Empire allemand le 1/4/1875. C’est sans doute dans ce contexte que se développèrent les Instituts vaccinaux. Jeunhomme fit connaître en France la situation allemande en 1888, mais Jules Arnould semblait déjà bien informé de la multiplication des instituts allemands.

 »’Prusse »’

Etablissement vaccinal de Berlin, en juin 1865, voir Pissin

Etablissement de Halle, voir Risel

Etablissement de Koenigsberg, vers 1888-89

Etablissement de Kassel, vers 1888-89

 »’Bavière »’

Etablissement de Münich

Etablissement de Nuremberg (moins important que Münich)

 »’Saxe »’

Quatre instituts sont mentionnés en 1889 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6112485t, sans doute :

Etablissement vaccinal de Dresde, voir Chalybäus

Etablissement vaccinal de Leipzig, de Livius Fürst, fondé en 1877

Etablissement de Magdeburg-Neustadt, voir Hager

Le 4ème à Chemnitz ?

 »’Würtemberg »’

Etablissement vaccinal de Stuttgart, voir Widenmann

Etablissement de Canstatt

 »’Bade »’

Etablissement de Karlsruhe, voir Fischer

 »’Hesse »’

Etablissement vaccinal de Darmstadt, en 1882. Voir Reissner

 »’Mecklemburg-Schwerin »’

Etablissement créé en 1888

 »’Saxe-Weimar »’

Etablissement vaccinal de Weimar, voir Ludwig Pfeiffer puis (?) Ponndorf

 »’Anhalt »’

Etablissement de Bernburg

 »’Nord de l’Allemagne »’

Etablissement vaccinal de Hambourg, fondé en 1874, voir Leonhard Voigt et M. Piza

Etablissement de Lübeck

Etablissement de Brême, 1880 ; voir Ferdinand Roepke

 »’Alsace-Lorraine »’

Etablissement vaccinal de Metz, voir Meinel

Etablissement vaccinal de Strasbourg, créé vers 1885, voir Eninger puis Kühn

 »’Silésie »’

Etablissement vaccinal d’Oppeln (Opole), voir Mewius

== Pays-Bas ==

Voir livre de Bollinger. Le terme fréquemment utilisé est le terme français de « Parc vaccinogène », en référence à Warlomont semble-t-il.

Parc vaccinogène de Rotterdam, fondé en 1868 (commune, province et Etat), voir Bezeth

Parc vaccinogène d’Amsterdam, fondé en 1869 (province et Etat). Sur ce parc vaccinogène, voir l’ouvrage de Bollinger (fonds Watier C011L), en p.105

Parc vaccinogène de La Haye, fondé en 1871. Voir Carsten (qui passa une souche à Cory en 1881) ; financements caritatifs

Parc vaccinogène d’Utrecht (Ecole vétérinaire) (Etat), voir Wirtz.

Parcs vaccinogènes temporaires à Karspen, Harlem (de 1873 à 1890, voir Ph.S. Frank), Groningue.

== Angleterre ==

La vaccination animale est introduite à Londres en 1869 par Henry Blanc, qui la diffuse à Birmingham (voir Greene) et à Glasgow (voir Cassells). Est-ce Darke qui prend le relais, entretenant le lien avec Warlomont ?

Animal Vaccination Station à Lamb’s Conduit Street, Bloomsbury, London, voir Cory. (établissement public). Puis Copeman ?

Calf Vaccine Institute à Bradford, institut privé du Dr TW Hime

Sur l’ »Association for the Supply of Pure Vaccine Lymph », voir Darke

== Europe septentrionale ==

Institut vaccinal de Stockholm, voir Kjerrulf

Helsinki, voir Quist

== Espagne et Portugal ==

Institut vaccinal de Barcelone, voir Ferran ??

Institut de vaccine animale de Lisbonne (Institut Campos et Bourquin)

Institut vaccinal de Leça de Palmeira (périphérie de Porto), voir Castro et Instituto Vaccinico Portuense à Porto, voir J. Mario de Castro (même personne et même institut ??)

== Autriche ==

Etablissement vaccinal de Vienne, voir Bauer. Voir aussi Csokor ?

Impfstoff-Gewinnungs-Anstalt in Neuhaus

Privat-Impf-Institut des Dr. Winter in Brünn

Lemberg : apparemment, 3 instituts, Privat-Impf-Anstalt des Dr. Baranski, Privat-Impf-Institut des Dr. Kubicki et Impf-Anstalt des Dr. Kretowicz… Cas intéressant…

== Europe de l’Est ==

Institut de Bucarest

Institut vaccinal de Saint-Pétersbourg, voir von Bulmerincq, devient ensuite l’Institut Jenner de Leningrad, voir Gamaleia pour la période 1910-1929

Institut vaccinal de Voronej (ou Woronège), voir Morosoff

== Etats-Unis ==

New-York

Nooklyn

Chambersburg

Clifton

Maryland

Washington

Chelsea

== Canada ==

L’Institut Vaccinogène de Québec établi en 1886 à Sainte-Foy

== Amérique du Sud ==

Institut vaccinal de Rio de Janeiro, voir Pedro

Institut vaccinogène de Sao Paulo, voir Vieira

== Afrique non francophone ==

Parc vaccinogène de Lourenco Marquas au Mozambique, à partir de 1918

== Inde ==

Henry Blanc introduit le vaccin animal à Bombay en 1870

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