Ranjard

 »’RANJARD »’ Marie  »’Robert »’ (1881-1960). Etudes de médecine à Tours. Il dédicace sa thèse à Henry Barnsby, David Barnsby, Louis Thomas (chez qui il a fait son externat en 1899-1900), Meunier (chez qui il a fait son internat en 1900-1902), LeDouble, Bodin, Thierry, Delagénière, Mercier, Lapeyre. Puis études de médecine à Paris, où il est externe puis stagiaire en 1903-1905. SOutient sa thèse en 1905 (voir dédicace, notamment à E. Paul-Boncour, et à Ch. Amat, son cousin). Il exerce dans le canton de Tours Centre, réside à Tours, obtient son diplôme le 5 avril 1905, à Paris, enregistré à la Préfecture d’Indre-et-Loire le 28 mai 1907. ORL, au début de la Grande Guerre il n’est pas mobilisé mais exerce à la Grande Bretèche (HA 2), l’hôpital de Barnsby Henry. Membre de la Société Archéologique de Touraine, il est l’auteur d’une « Touraine archéologique » maintes fois éditée. Une rue de Tours porte son nom

Il publie de nombreux travaux à la CVI° Session du Congrès Archéologique de France à Tours en 1949 (Saint-Julien de Tours ; L’église Saint-Pierre de Perrusson ; Le prieuré de Saint-Jean-du-Grais ; Le château de la Côte ; L’abbaye de Marmoutier ; Le prieuré de Saint-Cosme), de même que Frédéric Lesueur et Jean Valléry-Radot.

 »Publications (à compléter sur la partie archéologique) »

Ranjard, Robert. Le vertige auriculaire. Thèse Paris 1905

Ranjard, R. Sur un cas de corps étranger du larynx (arête de poisson sur l’épiglotte). Rev. laryng. 1906; 2: 342-5

Ranjard, R. Luxation laryngo-trachéale; résection du premier anneau de la trachée; guérison. Bull. de laryngol., otol. et rhinol. 1907; x, 193-197. Also: Rev. hebd. de laryngol. [etc.], Par., 1907, i, 641-645.

Ranjard, Action sur l’oreille à l’état pathologique des vibrations de la sirène à voyelles. Compt. rend. Acad. d. sc. 1909; cxlviii, 1409-1412

Ranjard. Contribution à l’étude de l’audition et de son développement par les vibrations de la sirène à voyelles. Compt. rend. Acad. d. sc. 1910; cl, 724-726

Ranjard, R. Peut-on diagnostiquer une surdité totale et complète? Peut-on rendre l’audition à un individu qui n’entend plus rien pratiquement. Arch. internat. de laryngol. [etc.] 1912; xxxiv, 63-69

Ranjard R. La surdité organique: étude de clinique et thérapeutique. Baillière, 1912 – 279 pages

Ranjard, R. Les surdités par obusité. Bull.-Acad. de méd. 1916, lxxvi, 195-198. Also: Paris méd., 1916-17, xxi, 279-283.

Ranjard,. Sur les cent premiers cas de surdité traités par la méthode de Marage au centre de rééducation auditive de la 8 e région. Compt. rend. Acad. d. sc. 1916; clxiii, 243-245r

Ranjard, Contribution à l’étude du diagnostic de la surdité de guerre. Compt. rend. Acad. d. sc. 1917; clxiv, 289-291

Ranjard, R. Valeur séméiologique des bruits d’oreille dans le diagnostic des anévrismes de l’étage moyen de la base du crâne. Arch. internat. laryng. 1922; 28: 330-3

Ranjard, R. Surdi-mutité guérie par la méthode de Marage. Ann. otolar. 1932; 1115-7

Ranjard, R. Contribution à la physiologie du développement de l’audition par les sons fondamentaux des voyelles. C. rend. Acad. sc. 1934; 199: 492-4

 »’RANJARD Claude »’ (1909- ). Médecin, thèse à Paris en 1936 (Traitement des phlegmons péri-amygdaliens par le chlorhydrate de sulfamido chrysoïdine). Fils du précédent ?

Girard, L. & Ranjard, C. Phrénocardiospasme et cardiotomie. Otorhinolar. internat. (Lyon) 1937; 21: 132-4

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