»’BLACHE »’ Jean  »’Gaston »’ Marie (Senlis 15/1/1799-1871). Voir généalogie sur http://gw4.geneanet.org/index.php3?b=pierremontcheu&lang=fr;p=jean+gaston+marie;n=blache;oc=18. Il est le gendre de Guersant. Pédiatre comme lui, c’est à lui qu’écrit Bretonneau en 1847 pour recommander le jeune Charles Caillault, fils d’un médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More du Lochois, Julien Caillault. Ses travaux et ceux de Guersant seront republiés par son fils René Blache, lui aussi pédiatre en 1883, précédés d’une préface d’Eugène Archambault http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k371312k.r=Blache+.langFR.

MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More interne de première classe, des hôpitaux et hospices civils de Paris, bachelier ès-lettres, il soutient sa thèse à Paris en 1824 (Recherches sur une production particulière de la membrane muqueuse de la bouche, qui se manifeste dans les derniers temps des maladies chroniques), qu’il dédie à Peligot et Chomel.

Extrait d’une bio de 1850 (Galerie nationale des notabilités contemporaines, Volume 2, par E. Saint-Maurice Cabany). Docteur en Médecine, MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More de l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More des Enfants, MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More consultant de la Maison Nationale de Saint-Denis, Ancien MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More des Jeunes Princes de la famille d’Orléans, etc., etc., Chevalier (1837) puis Officier (1846) de la Légion d’Honneur (Commandeur en 1870) http://www.culture.gouv.fr/LH/LH019/PG/FRDAFAN83_OL0247023v001.htm. Ancien interne des hôpitaux de Paris. Thèse en 1824, nommé successivement médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More du bureau central des hôpitaux en 1831, de l’hospice des Incurables en 1836, de l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More Cochin en 1838, et de l’HôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More des Enfants malades en 1846, où il a succédé à M. le docteur Jadelot. En 1839, le duc d’Orléans lui confia le soin de son premier enfant Mgr le comte de Paris, et en 1841, celui de son second fils Mgr le duc de Chartres. On lui doit une dissertation remarquable sur la Coqueluche, qui a remporté le prix proposé par la Société de Médecine de Lyon , en 1832 , ainsi que plusieurs mémoires importants insérés dans le Répertoire général des Sciences médicales et les Archives de Médecine.

Dans sa thèse, Vidal signale que Blache est médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More de l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More des Enfants-Malades, médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More consultant de la Maison impériale de Saint-Denis, officier de la légion d’honneur.

C’est dans sa fameuse lettreÉcrit adressé à quelqu’un pour lui communiquer quelque ch… More du 7 janvier 1855 à Blache et Guersant (fils) que Bretonneau écrit l’une de ses phrases les plus visionnaires. Voici ce qu’en dit Boureau dans le 2ème numéro de la Gazette Médicale du Centre en 1896, se référant à Triaire (cette lettreÉcrit adressé à quelqu’un pour lui communiquer quelque ch… More porte le n°CCCXLV dans l’ouvrage de Triaire) :

 » Il (Bretonneau) est le premier qui ait mis en évidence l’unité, la spécificité et les caractères anatomiques des lésions de la fièvre typhoïde. Depuis 1818, il en donnait les preuves à ses élèves et le 7 juillet 1829, il fait sur ce sujet une lecture à l’Académie de médecine. Trousseau, son élève, avait déjà du reste édité les idées de son maître. Cette découverte qu’il avait basée sur ses études cliniques reçoit 67 ans après sa confirmation par une science qu’il n’a pas connue, la bactériologie, mais dont il pressentait l’essor. Dans la longue lettreÉcrit adressé à quelqu’un pour lui communiquer quelque ch… More adressée à Blache et à Guersant, (Tours, 7 janvier 1855), on lit cette phrase qui prouve la fermeté et l’indépendance de ses convictions :  »« Je le répète donc encore : un germe spécial, propre à chaque contagion, donne naissance à chaque maladie contagieuse. Les fléaux épidémiques ne sont engendrés, disséminés que par leur germe reproducteur. » ». En résumé, si la réaction de Gruber ne prouve pas la spécificité du bacille typique, elle paraît établir définitivement la spécificité de la fièvre typhoïde. »

Guersant, & Blache. Vaccine. Dict. de méd. 1886 (2. éd), xxx, 393-441

 »’BLACHE »’ Joseph  »’Henri »’ (-1853 ou 1855). pourrait être son fils, mort du croup en 1853, pendant sa 2e année d’internat (mentionné dans la thèse d’Emmanuel-Auguste André soutenue en 1857, justement sur le croup (« Du traitement des cas de croup observés à l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More des enfants en 1856 »)). Le site http://www.leplaisirdesdieux.fr/LePlaisirDesDieux/Histoire/histoireihp.html mentionne son décès en 1855.

 »’BLACHE René »’ Henri (Paris, 10/4/1839 – 24/10/1908). Fils de Gaston Blache, membre de l’Académie de Médecine, officier de la Légion d’Honneur http://www.culture.gouv.fr/LH/LH019/PG/FRDAFAN83_OL0247027v001.htm. Il est interne des hôpitaux de Paris en 1866-67. Il publie avec Marc Boymond « Clinique et thérapeutique infantiles, avec formulaire pratique » en 1894.