Caillault

 »’CAILLAULT Julien »’ Charles Martin. Dans la liste des Médecins autorisés à exercer en 1821, il est domicilié à Montrésor, arrond de Loches. C’est un officier de santé reçu à Tours le 25 octobre 1816 (même génération que Léveillé du Gd-Pressigny, de Davonneau fils et de Patry fils). Bretonneau parle de lui dans une lettre à Blache http://www.traces-ecrites.com/resultats_av/detail.php?context=motcles&mot=bretonneau&id=6724

 »’CAILLAULT Charles »’ Ferdinand Marie (Montrésor vers 1822-Autun 1874), son fils, dont il est question dans cette lettre en 1847 http://www.traces-ecrites.com/resultats_av/detail.php?context=motcles&mot=bretonneau&id=6724. Le piston de Bretonneau auprès de Blache a dû bien marcher, ou c’était vraiment un bon candidat… Il devient interne des hôpitaux dès 1847 (ex-Interne Lauréat de l’Hôpital civil de Tours, ex-Élève de l’École Pratique, Interne des Hôpitaux et Hospices de Paris). Il soutient sa thèse de médecine à Paris en 1852 (Du signe stéthoscopique du décollement du placenta), avec Trousseau comme président de jury, Andral, Jarjavay et Duméril fils.

Il a aussi écrit un Traité des maladies de la peau chez les enfants (1859) http://books.google.fr/books?id=ab4_AAAAcAAJ&printsec=frontcover&dq=Charles+Caillault&hl=fr&ei=lmp1TbWOGIGM4Qb2vbWeDQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CCoQ6AEwAA#v=onepage&q&f=false dont une édition anglaise est parue en 1861 http://books.google.fr/books?id=CA8DAAAAQAAJ&printsec=frontcover&dq=Charles+Caillault&hl=fr&ei=lmp1TbWOGIGM4Qb2vbWeDQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=4&ved=0CDcQ6AEwAw#v=onepage&q&f=false. En recoupant quelques autres infos (cf. IndexCat), on comprend qu’il s’occupait de maladies de peau aux Enfants-Malades à Paris. Installé à Autun, il mourut en 1874 dans sa 52ème année (voir L’Union médicale 1874, p207)

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