»’PELOUZE »’ Théophile »’Jules »’ (1807-1867). Pharmacien Celui, celle qui est titulaire du diplôme d’État déliv… More et chimiste français http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ophile-Jules_Pelouze. Repéré par Gay-Lussac, il travailla dans le laboratoire de Wilson, et les usines du Creusot lui furent un temps confiées http://www.afbourdon.com/Telechargement/Detail_Bulletins/Bulletin_3/PAGE03.pdf. A travaillé à Lille sur le sucre de betterave. Il publia sur le curare avec Claude Bernard. Ses travaux sur la médications phosphatée, aux côtés de ceux d’Albert Robin, inspirèrent les Laboratoires Robin http://www.shp-asso.org/index.php?PAGE=robin. Ayant succédé au baron Thénard au Collège de France, voir s’il a eu des liens directs avec Albert Robin, élève du fils Thénard. Il eut apparemment comme élève Marcellin Berthelot, et il n’est pas impossible qu’il intervint auprès d’Emile-Justin Menier pour qu’il soit embauché http://pagesperso-orange.fr/pone.lateb/portrait%20emile%20justin%20menier.htm. Voir aussi sa bio sur la SHP http://www.shp-asso.org/index.php?PAGE=pelouze, bien qu’elle comporte manifestement des erreurs, attribuant à Théophile-Jules ce qui revient à son fils (Chenonceaux, probablement aussi la cloche à gaz).
Portrait de Jules Pelouze dans l’article de JP Liauté, P Arnaud et T Lempérière. Les derniers jours de Louis-Victor Marcé à partir d’une correspondance inédite de Jules Pelouze. Hist Sci Med. 2012 xlvi, n°4, p113-124.
»’PELOUZE Eugène »’ Philippe (né à Paris en ?-1881). Fils du précédent. Pendant ses études, il reçut des leçons de Victor-Jules Marcé et l’introduisit auprès de son père (avant de devenir son beau-frère…). A noter que cette connexion avec Victor-Jules Marcé crée une connexion avec Velpeau, Baillarger et Moreau de Tours. Eugène Pelouze passa sa thèse en 1857 à Paris (« Étude sur les fermentations »), dédiée à son père, membre de l’Institut, à Claude Bernard, membre de l’Institut, à Andral, membre de l’Institut, à Velpeau, membre de l’Institut (Velpeau est dans son jury, présidé par Wurtz). Claude Bernard présente une communication de lui (« note sur la matière glycogène ») à l’Académie des Sciences le 29 juin 1857. Il épousa en 1857 Marguerite Wilson, soeur aînée de Daniel Wilson, le député. Ils n’eurent pas de descendant et le mariage fut dissous en 1869 http://fr.wikipedia.org/wiki/Marguerite_Wilson. Sa femme acquit le château de Chenonceau en 1864 (raison pour laquelle il fait des observations sur le tracé de chemin de fer ?) aux héritiers de Mme Dupin, la protectrice de Bretonneau. D’après sa nécrologie http://cnum.cnam.fr/CGI/fpage.cgi?4KY28.16/274/100/430/0/0, c’est donc lui aussi qui avait inventé un appareil pour épurer le gaz de houille, et il était administrateur de la Compagnie parisienne du gaz (grâce à son beau-père Daniel Wilson ?). Si on en croit cet ouvrage http://www.inrp.fr/numerisations/journal-des-instituteurs/Fascicules/1868/INRP_JDI_18680607_FA.pdf, il proposait aussi le semis de naphtaline (provenant des usines à gaz) pour débarrasser les terres des larves de hannetons.
Pelouze E. Observations présentées à l’enquête d’Indre-et-Loire, sur le tracé du chemin de fer de Tours à Vierzon. Tours : impr. de Ladevèze, 1866
Pelouze, Eugène. Exposition universelle de 1867, à Paris. Rapports du Jury international, publiés sous la direction de M. Michel Chevalier. Usines à gaz, par M. Eugène Pelouze. Paris : P. Dupont, 1857
Pelouze, Eugène. Sur la destruction des insectes nuisibles à l’agriculture. Note communiquée à la Société d’encouragement pour l’industrie nationale. [Séance du 22 novembre 1867.) Paris : impr. de Vve Bouchard-Huzard, (1868)
Pelouze, E & Audouin, Paul. Notice et certificats relatifs à l’appareil condensateur pour usines à gaz. Paris : impr. de Lahure, 1878
»’PELOUZE Anna »’. Seconde des 3 filles de Jules Pelouze. Elle épousa Victor-Jules Marcé le 26 mars 1856
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