»’RAUST Jean (Marie) »’ (1911-1999). Né en Tourainerégion More où son père habitait. A fait ses études à Paris, où il a rencontré sa femme, Fanny, grande pianiste, qui avait fait le tour du monde. Il se peut qu’elle se soit trouvée dans l’entourage du Pr. Albert Robin. »A creuser ». Thèse en 1936, sur les cavernes tuberculeuses. Il s’installa comme médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More à Loches et y exerça jusqu’à sa retraite. médecin-chef à l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More de Loches. Fanny Raust a réclamé des crédits pour la restauration de l’orgue de la Collégiale Saint-Ours pour que Loches devienne un centre de concert d’orgue.http://books.google.com/books?id=glIVXVYF4ysC&pg=PA114&dq=%22fanny+raust%22&hl=en&ei=QN1pTr3jKsP0sgb5k7XnBA&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&sqi=2&ved=0CCkQ6AEwAA#v=onepage&q=%22fanny%20raust%22&f=false
A publié « 50 ans de médecine en Touraine » (A443), dans lequel il dit qu » »un petit foyer (de variole) s’est manifesté dans le service des vieillards du CHR de Tours en 1932, qui fit des victimes ». Il y évoque aussi le Dr. Patrice Boureau.
Il était en contact étroit avec Emile Aron, la famille Debré, André Robin (qui lui offrit le stéthoscope de Laênnec qu’il tenait de son père), Thérèse Planiol.
Il connaissait la famille Chaumier à Chemillé, Jacques-Marie Rougé, Michel Vernudachi. Il a probablement connu aussi Michel Gaudeau de Saint-Flovier.
S’est aussi beaucoup intéressé à l’histoire locale. Il a publié en 1992 « Loches au cours des siècles » chez CLD. D’après son fils et sa belle-fille, il notait tout, et ils ont des quantités de documents à son domicile où sa veuve, malade, vit encore.
Il a publié un article en 1989 « La «ténébreuse affaire» de Balzac et l’enlèvement du sénateur Clément de Ris » et un autre en 1995 sur « Vigny et sa famille à Loches et en Touraine » dans les tomes II et VIII des bulletins de l’Académie de Tourainerégion More http://academie-de-touraine.ifrance.com/Sommaire.html, dans lesquels on trouve par ailleurs à cette époque des articles d’E. Aron, P. Dubreuil-Chambardel, P. Métadier (fils),… Emile Aron a publié un hommage à Jean Raust dans ces mêmes bulletins en 1999. Polémique d’ailleurs au sujet de ce qu’il aurait trouvé sur Vigny http://home.hiroshima-u.ac.jp/france/R13Tanaka.html.
D’après Jean-Victor Raust, sa famille n’aurai pas connu Albert Robin. Ils ont connu André Robin probablement par la musique car Fanny D’aleman (épouse Raust) était pianiste tout comme Marguerite Laurent (épouse Robin). D’ailleurs, la mère de Fanny, Madeleine ou Marguerite? D’aleman était aussi une grande pianiste notamment pianiste de Ravel. Fanny faisait des concerts chez Thérèse Planiol.
Dr Raust Jean a fait son internat à Tours puis à l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More Péan à Paris. Il s’est installé juste avant la guerre à Loches. A l’hoptal de Loches, il travaillait à temps partiel et faisait les accouchements et la médecine. Il y avait à cette époque le dr Martinais (qui a donné son nom à l’hopital de Loches), le Dr Binet (je me demande si il n’est pas de la famille du Pr Binet Christian, hématologue à Tours. Il me semble qu’il est originaire du lochois). Il faisait partie de l’Académie des sciences, art et belles lettres de Tourainerégion More. C’est pendant la guerre 39-45 qu’il aurait connu la famille Robin.
André Robin avait une fille qui avait épousé un américain M. Lappine. Ils vivaient rue Beauséjour à Paris et ne pouvaient pas avoir d’enfant. C’est le Dr Raust qui l’a soignée. Le couple a eu un enfant. André Robin fut éternellement reconnaissant de ses soins et lui offrit en remerciement le stéthoscope de Laênnec.
Jean-Victor (prénom usuel) Raust devait faire soit de la musique, soit de la médecine. Il fit sa première année de médecine à Tours puis externe à Paris. Il choisit de faire de la radiologie. Thérèse Planiol voulait qu’il vienne faire son internat dans son service à Tours mais finalement il resta à Paris. Thérèse Planiol recruta plus tard Léandre Pourcelot.
»Sources »
La veuve de Jean Raust est décédée en 2009 et habitait toujours 28 rue Vignemont 37600 LOCHES. Jean Victor Raust ( le fils cadet) revient régulièrement à Loches dans cette maison.
RAUST Pierre-Henri, fils aîné de Jean Raust, et son épouse Véronique. Feschal 37600 LOCHES. Tel. 02 47 59 25 15. veronique-raust593@orange.fr
RAUST Jean(-Victor), né en 1944, fils cadet de Jean Raust. Thèse en 1972. Radiologue à Saint-Cloud (Centre hospitalier dont il est président de CME).jean.raust@wanadoo.fr, 06.85.32.81.03, 01.47.71.56.
Gilbert Gadoffre, un humaniste révolutionaire ; entretiens avec Alice Gadoffre-Staath By Gilbert Gadoffre, Alice Gadoffre-Staath Grâne : Créaphis, impr. 2002
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