»’GIRAUD John Thomas »’ MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More (?) vaccinateur (« Surgeon Apothecary ») anglais s’étant préoccupé de conservation du vaccinSubstance préparée en laboratoire à partir de microorgani… More. Installé à Feversham dans le Kent http://books.google.fr/books?id=nMgUAAAAQAAJ&pg=PA224&dq=Giraud+vaccine+fluid&hl=fr&ei=3OcvTZ6bN5aW4gaeyajZCg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=3&ved=0CDUQ6AEwAg#v=onepage&q=Giraud%20vaccine%20fluid&f=false. Le tube qu’il a décrit avant Bretonneau, fragile, semble avoir été peu utilisé (Cf. Conservation du vaccin à l’état fluide). Maire de cette commune en 1813, 1821 et 1830 http://www.faversham.org/pages/standard.aspx?i_PageID=152103. Son fils (?), Fred’k Francis Giraud, est maire en 1847 et 1856.

Interroger les historiens de Faversham http://www.faversham.org/pages/standard.aspx?i_PageID=19882 ? Sais-on jamais ? (portrait, documents, dates de naissance et décès, biographie, archives sur son tube ? ; il faudrait les contacter en expliquant qu’on s’intéresse au tube Bretonneau et qu’il est en fait un précurseur ; ce qui m’intrigue aussi c’est son nom assez français. Fils d’immigré français ? S’il a des liens avec la France, Bretonneau aurait-il pu le connaître ?)

Giraud, J. T. Monsters from defect or malformation of spine. Med. & Phys. J. 1803; x, 171-173, 1 pl.

Giraud, J. T. [On the preservation of vaccine matter in an active state.] Med. & Phys. J. (Lond.) 1803; ix, 397

Giraud, J. T. A description of the mode of preserving the vaccine lymph in a fluid state. Lond. M. Reposit. 1816; vi, 210-212

 »’GIRAUD Georges »’ (Paris 30/6/1882-). Cf. Médecins, Pharmaciens, Sages-Femmes, Chirurgiens-Dentistes et Dentistes exerçant en Indre-et-Loire en 1914. MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More, thèse à Paris le 10 janvier 1909 (« Le corps thyroïde des tuberculeux, recherches histologiques et chimiques »). S’installe dès le mois suivant à Genillé, et s’y trouve en 1914. Son frère est le général Giraud http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Giraud_%28g%C3%A9n%C3%A9ral%29. Né à Paris comme son frère le général et d’une famille de souche alsacienne, comment se retrouve-t-il à Genillé ? Il ne mentionne pas Marcel Labbé dans les dédicaces de sa thèse (c’est le titre de sa thèse qui m’y fait penser)) et ce n’est donc probablement pas le réseau Lapeyre / Gibotteau qui a joué. Il ne mentionne que Letulle, chez qui il est passé en 1905-1906 (connexion avec Edmond Chaumier ?). Sans doute très proche de M. Fortier, le pharmacien  Celui, celle qui est titulaire du diplôme d’État déliv… More de Genillé, Georges Giraud recueille en 1931 son jeune fils, Marcel Fortier, devenu orphelin de ses deux parents et qui deviendra médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More puis sénateur.

Dédicaces de la thèse :  »A mon président de thèse, M. le professeur Landouzy, Doyen de la Faculté de Médecine de Paris, médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More de l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More Laënnec, membre de l’Académie de Médecine, Officier de la Légion d’honneur. A mes maîtres dans les hôpitaux: 1902-1903: MM. Les docteurs Gérard Marchant (in memoriam), Merklen; 1903-1904: MM. les professeurs agrégés Richelot, Morestin; 1904-1905: M. le docteur Courtois-Suffit; 1905-1906: M. le professeur agrégé Letulle, M. le docteur Doléris; 1906-1907: M. le professeur agrégé Lejars; 1907-1908: M. le docteur Lacombe ». Outre Landouzy, le jury comprenait Brissaud, Pierre-Marie et Widal.

 »’GIRAUD L. »’. Pharmacien  Celui, celle qui est titulaire du diplôme d’État déliv… More médaillé de l’Ecole supérieure de Paris et ancien interne des hôpitaux. Avec H. Paulin, ils tiennent la Grande Pharmacie Nouvelle (voir à Paulin sur cette pharmacie). Ils sont successeurs de Walter Lefèvre.