»’MICHELON Etienne »’ Gustave Jean (Tours 18/3/1870-). Pharmacien Celui, celle qui est titulaire du diplôme d’État déliv… More de 1ère classe (de l’Ecole Supérieure de Paris), pharmacien Celui, celle qui est titulaire du diplôme d’État déliv… More à l’asile de Clocheville, il soutient une thèse à Bordeaux en 1908 (« Histoire pharmacotechnique et pharmacologique du mercure à travers les siècles des temps les plus reculés jusqu’au milieu du XIXe siècle. »), qui semble éditée à Tours. Il a eu le 1er Prix de thèse. Le 1/1/1914, il remplace René Boureau au service de bactériologie de Clocheville.
Introduction de sa thèse (FW D073L) : « Le but que je me suis proposé en retraçant l’histoire pharmacotechnique et pharmacologique du mercure n’est pas de commenter et de discuter les idées des Anciens, mais de remettre sous les yeux les textes vrais des différents auteurs, afin de donner l’image exacte de ce que fut la science pharmaceutique à travers les siècles ». Dans cette thèse (fonds Watier D73L), il précise qu’elle a été faite sous la direction du Pr. agr. Barthe. Il remercie également, François-Emile Boutineau, et M. Collon, le conservateur de la bibliothèque de Tours.
Membre <1906 de la Société botanique du Centre-Ouest, anciennement Société botanique des Deux-Sèvres. Section de Tourainerégion More, dont Boutineau avait l’air d’être l’animateur.
Plusieurs factures anciennes de sa pharmacie ayant été mises en vente sur Delcampe, on y apprend qu’il est :
– en 1906 (FW E028P) : Successeur de Jules Brissonnet, Pharmacien Celui, celle qui est titulaire du diplôme d’État déliv… More de 1ère classe de l’école supérieure de pharmacie de Paris, pharmacien Celui, celle qui est titulaire du diplôme d’État déliv… More de l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More de Clocheville, laboratoire d’analyses médicales, chimiques et bactériologiques, laboratoire de stérilisation, 5 rue Jehan-Fouquet et »’64 »’ rue Victor-Hugo
– en 1910 (FW B821P? FW E029P), outre tout ce qui précède : Docteur en pharmacie (1er Prix de thèse), chimiste-expert près les tribunaux, membre du bureau d’hygiène de l’armée et de la commission sanitaire de l’arrondissement de Tours, 5 rue Jehan-Fouquet et »’84 »’ rue Victor-Hugo.
Un ensemble d’étiquettes non datées (FW F045P ; lavement ; benzine rectifiée ; élixir pectoral ; sérumThérapeutique : Préparation à base de sérum d’un animal … More marin stérilisé – eau de mer isotonique; huile de ricin ; huile goménolée ; essence de térébenthine ; eau de Cologne ; élixir dentifrice ; vin composé ; limonade purgative) confirment les informations ci-dessus concernant ses titres et les deux adresses de la pharmacie (c’est bien le 84).
A une date indéterminée (après guerre), un carte publicitaire (demande d’échantillon) indique au recto « Laboratoire E. Michelon, 20 Bd Heurteloup à Tours » et verso « Laboratoire du Sonamel, Sonagar et Aesculase ». Ces 3 spécialités sont peu connues… (FW F044C). Cette adresse (20 Bd Heurteloup) apparaît aussi sur certaines étiquettes (FW F045P). Il est alors précis « Laboratoire d’Analyses et stérilisations ».
Mars 1928 : il fait partie des fondateurs de la toute première « Association des Pharmaciens biologistes », et devient membre de son bureau au mois de mai http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5415054b/f62.image.r=michelon.langFRhttp://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54092933/f190.r=michelon.langFR
Avec le lot d’étiquettes (FW F045P), quelques unes étaient indiquées « R. et G. Ferrier, pharmaciens, ex-internes des hôpitaux de Paris, 20 Bd Heurteloup à Tours ». Successeurs pour le laboratoire ? Aussi pour la pharmacie ??
Publications
Michelon, Etienne-Gustave-Jean 1870- Histoire pharmacotechnique et pharmacologique du mercure à travers les siècles des temps les plus reculés jusqu’au milieu du XIX e siècle. [Bordeaux.] Tours, Deslis frères, 1908
Michelon, L’emplâtre de Vigo. Gaz. méd. du centre 1908; xiii, 22-25
Mercier, R., Michelon, E., Chemineau, Utilisation digestive des graisses dans la fièvre typhoïde. Bull. Acad. de méd. 1915, lxxiv, 500-503
? Michelon, Un cas d’abcès pulmonaire déterminé par des cryptocoques. Rec. de méd. vét. 1925; ci, 71
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