»’GENDRON Edouard »’ (né à Chartre, Sarthe). Fils d’un médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More de la Faculté de médecine de Paris, déjà décédé en 1822. Membre émérite de la Société d’Instruction médicale, et élève des hôpitaux civils de Paris. Soutient sa thèse à Paris en 1822 (Dissertation sur la fièvre muqueuse)
»’GENDRON Arsène »’ (1793-1854). Frère aîné du suivant, ancien élève du collège de Vendôme, thèse de médecine à Paris le 24/8/1815 (Dissertation sur le phlegmon des mamelles et sa terminaison par suppuration). MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More de l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More et du collège de Vendôme. Elève aussi sans doute de Bretonneau. Un fonds « Arsène Gendron » se trouve dans le Fonds Ancien de la Bibliothèque de la Communauté du Pays de Vendôme (Alain Dubois ; bibliotheque-fondsancien@vendome.eu). Lire l’article à son sujet dans le Bulletin de la Société Archéologique du Vendômois http://www.vendomois.fr/societeArcheologique/ressources/bulletins/Bulletin2001.pdf (page 43).
Gendron, Arsène-Pierre-Jean-Baptiste (Dr)
Titre(s) : Notice historique sur la chapelle Saint-Jacques, l’église et le collège de Vendôme, par M. A. Gendron,… [Texte imprimé]
Publication : Vendôme : Henrion, 1847
Gendron , A. Mémoire sur des angines couenneuses épidémiques observées dans l’arrondissement de Vendôme. J. gén. de méd., chir. et pharm. 1829; cix, 32–41.
»’GENDRON Esprit »’ (Vendôme 1794-1860). Interne à Paris (1814), ayant eu comme maître Dupuytren, thèse à Paris en 1818 (« Observations de médecine pratique sur les poumons, les organes de la digestion et l’utérus. »). Quitte Paris pour s’installer à Château-du-Loir. Elève de Bretonneau (« voué par conviction à la doctrine contagioniste de l’école de Tours » dit la nécro de Maugeret), ce qu’a souligné Paul Delaunay. Il perfectionna semble-t-il la pratique de la trachéotomie, en particulier dans les phases tardives du croup. Ami intime d’Orfila, et apprécié de Trousseau et de Velpeau. Bretonneau ne parvint pas à le faire venir à Tours comme professeur à l’Ecole de Médecine car Esprit Gendron était trop attaché à Château-du-Loir. Louis Morand lui a répondu dans une lettreÉcrit adressé à quelqu’un pour lui communiquer quelque ch… More en 1845 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56205318/f3.image. Il était membre correspondant de l’Académie impériale de Médecine. Membre du Conseil général et du jury médical de la Sarthe, maire de Château-du-Loir (1830-1832 puis 1839-1852) et chirurgien de l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More de Château-du-Loir. Décède à la fin de l’année 1860 d’avoir contracté une angine couenneuse après avoir pratiqué une trachéotomie. Avait déjà contracté une diphtérie en 1845, et avait été soigné par Bretonneau lui-même. Edouard-Louis Labbé, de Saint-Christophe, lui dédie sa thèse en 1858.
Nécro dans la Gazette Médicale de Paris de 1861, p.86 qui est une reprise partielle d’un article de Maugeret publiée dans le Journal d’Indre-et-Loire http://books.google.fr/books?id=gw9FAAAAcAAJ&pg=PA86&dq=Esprit+Gendron&hl=en&sa=X&ei=hODhUPOiNoezhAfJm4D4BA&ved=0CFgQ6AEwBg#v=onepage&q=Esprit%20Gendron&f=false
Biographie également en 1898 par le Dr. Gaston Poix (Le Dr E. Gendron, de Château-du-Loir. Archives médicales d’Angers, n° 12, 20 décembre 1898 (10pp)). Egalement en 1924 par P. Delaunay (Les petits prophètes de l’école bretonnienne; esprit gendron; les médecins de campagne et le dogme de la spécificité morbide. Bull. Soc. franç. d’hist. de la méd. 1924; xviii, 177–191.)
Gendron E. Observations sur la hernie de l’iris, l’ophtalmie chronique, et les usages de la pupille. Paris, 1824. 68pp
Gendron , E. Observations sur une angine couenneuse qui a régné d’une manière épidémique dans le canton de Château-Renault, et dans d’autres bourgs de l’arrondissement de Tours (Indre-et-Loire). J. compl. du dict. d. sc. méd. 1825; xxiii, 346–364.
Gendron , E. Note sur l’angine diphthéritique et sur les agens thérapeutiques employés dans cette maladie. Précis de la const. méd. d’Indre-et-Loire 1828; 42–48. Also: J. compl. du dict. d. sc. méd., Par., 1828, xxx, 269–275.
Gendron-Esprit. Dothienentéries observées aux environs de Château-du-Loir. Arch. gén. de péd. 1829; xx, 185; 361.
Gendron , É. Observation et réflexions sur une dégénérescence du foie; coliques hépatiques; hépatique chronique; foie stéatomateux. Précis de la const. méd. d’Indre-et-Loire 1829; 16–21.
Gendron. Imperforation complète du vagin. Précis de la const. méd. d’Indre-et-Loire 1832, 16.
Esprit Gendron. Recherches sur les épidémies des petites localités. Journal des Connaissances médico-chirurgicales 1834.
Esprit Gendron. Du Cathétérisme curatif du rétrécissement de l’oesophage; 1842. Accessible en ligne http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57341411
Morand, L. LettreÉcrit adressé à quelqu’un pour lui communiquer quelque ch… More à M. le docteur Gendron (médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More de Château-du-Loir), Tours 1845. In-8° (L’observation de diphthérite laryngotrachéale (croup) qui a nécessité trachéotomie). Monographie de 335 p ??
»’GENDRON François »’, Officier de santé domicilié à Chinon, reçu le 18 floréal an 11 (mai 1803).
»’GENDRON Alexandre »’ (né à Chinon). Fils d’un chirurgien de l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More de Chinon (le précédent ?). Interne en médecine et en chirurgie des hôpitaux et hospices civils de Paris (1831), ancien élève de l’Ecole pratique, membre de la Société anatomique et de la Société médicale d’observation, bachelier ès-sciences. Thèse à Paris en 1835 (Propositions sur quelques points de médecine et de chirurgie). Outre son père, il dédie sa thèse à Cottereau.
»’GENDRON F »’. Fils du précédent ? Ancien interne des hôpitaux de Paris, Dr en médecine installé à Chinon, ayant eu une fille en 1853 (d’après un faire-part qui a été en vente sur eBay). Maurice Bruslon, né en 1882, serait son neveu ?
IndexCat mentionne :
»’GENDRON Fernand »’ [Orléans 31/10/1853–1918], thèse en 1882 (Conjonctivite granuleuse. Etiologie et traitement des conjonctivites granuleuses contractées à Cattaro (Autriche) à bord des cuirassés le « Suffren » et le « Friedland »)
»’GENDRON Frédéric »’ [Saint-Christophe (I&L) 1855–86], Interne des Hôpitaux de Paris, Lauréat de l’école de médecine de Tours (médaille d’Argent, 1875), Membre titulaire de la Société clinique. Thèse à Paris en 1883 (Etude sur la pyléphlébite suppurative)
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