»’LHOPITALLIER Père »’ Pharmacien à Loche, thèse avec Charles Brame en 1870 (« De l’éther »). En retraite en 1906, membre de la Société botanique du Centre-Ouest et de la Société botanique des Deux-Sèvres.
»’LHOPITALLIER Jeune »’. Pharmacien installé Grand’rue à Loches. Thèse avec Charles Brame en 1871 (« Sur les sirops »), un an après son père. En 1906, il est lui aussi membre de la Société botanique du Centre-Ouest et de la Société botanique des Deux-Sèvres, et installé à Loches. Est-ce donc le Octave Lhopitallier qui achète en 1892 la pharmacie de la rue Soufflot à Paris ? (cf. infra l’article de Christian Warolin). A moins qu’Octave ne soit un frère ?
»’LHOPITALLIER »’, pharmacien, installé 1 place du Palais de Justice à Tours en 1892. Lequel des deux ? Ou un 3ème ? En 1892, il est membre de la Commission du groupe V (Industries extractives, produits bruts et ouvrés) de l’Exposition nationale de Tours, avec Alfred Fournier comme président-né et Brissonnet, comme secrétaire adjoint (Journal officiel, n°10 p2 ; fonds Watier, C116L);
»’LHOPITALLIER Dr »’. Médecin installé à La Membrolle sur Choisille, apparaissant dans une publication relatives à des médecins militaires (appelés ?) en 1925.
Lhopitallier, Le traitement actuel de l’alcoolisme; conférence faite à la Société médicale d’Indre-et-Loire. Arch. méd.-chir. province 1925; 15: 156-9. Egalement Hôpital, Par., 1925, 13: 438.
»’LHOPITALLIER Edouard »’. Ancien interne à l’Hospice général de Tours, Lauréat de l’Ecole de médecine. Thèse à Paris en 1901 (« Étude des liserons indigènes; leur emploi thérapeutique »). Le même que le précédent ?
»’LHOPITALLIER Henri »’ (Paris 14/5/1897). Pourrait bien être le fils d’Edouard, mais rien ne le dit dans la thèse (plusieurs dédicaces). Comme il ne soutient sa thèse qu’en 1926 (Paris, « Essais d’aminoacidémie provoquée par adaptation de la technique de Folin »), il ne peut s’agir du Dr Lhopitallier de La Membrolle.
Warolin C. « La pharmacie Lhopitallier à Paris, rue Soufflot, trois générations de pharmaciens en un siècle. Rev Hist Pharmacie 1992; 39, 293, 217-220 http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/pharm_0035-2349_1992_num_80_293_3591. Curieusement, ce Christian Warolin habite Montlouis.
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