»’JALLON Louis »’ Jacques Simon (né vers 1770). Thèse à Paris en l’an XIII (« Essai sur l’âge critique des femmes »). Médecin-chef de l’Hôtel-Dieu d’Orléans, professeur de clinique interne et directeur de l’Ecole préparatoire de médecine et de pharmacie d’Orléans. Chevalier (1819) puis Officier (1846) de la Légion d’Honneur (dossier hélas plus que léger http://www.culture.gouv.fr/LH/LH091/PG/FRDAFAN83_OL1349077v001.htm)
Assez curieusement, dans un de ses articles »La possibilité de vivre plusieurs années sans boire ni manger », cité dans http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5729594t/f129, il évoque le livre de Fortunius Liceti publié à Padoue en 1612. Or Jallon est le premier maître de Victor Houssay (lorsqu’il était à l’Ecole préparatoire de Médecine de 1843 à 1845), dont le fils François traduira l’ouvrage de Liceti.
Jallon fait aussi référence à Récamier sur l’utilisation de l’essence de térébenthine dans le traitement de la sciatique ; or on connaît bien la filiation Récamier – LeDouble et LeDouble – François Houssay
»’JALLON Louis François »’ Robert. « fils ». Thèse en 1819 à Paris (Considérations sur les fièvres essentielles). Egalement médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More à Orléans. Dans les années 1860, il semble être à Bourg-la-Reine en région parisienne.
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