Panneau, la bactériologie

Boureau

René Boureau et la bactériologie

Ce panneau associant bactériologie, virologie et biochimie, je me demande s’il ne faudrait pas l’appeler « biologie », ou « biologie médicale » ou « biologie clinique »..  »J’aime bien biologie médicale » …

(Ce panneau viendra logiquement se placer après le Panneau, la sérothérapie) »

Pendant sa formation à la sérothérapie en 1893-94 (cf. Panneau, la sérothérapie XX), René Boureau suit les cours de « microbie » de l’Institut Pasteur, dispensés par Emile Roux (1853-1933) et Elie Metchnikoff (1845-1916). Ce qu’il découvre l’impressionne et le fascine tant, qu’il en écrit à sa femme :  » »Les Tourangeaux sont de rudes empotés pour ne pas venir voir, au moins ! » ». De retour à Tours, il est chargé des examens bactériologiques à Clocheville où il installe officiellement un laboratoire en 1896 (date à vérifier  »’je pense que c’est la bonne, même si pas de date plus précise »’). Il installe également un laboratoire à son domicile où il y effectue plusieurs analyses sur demande.  »Décrire brièvement ce qui se fait dans le labo (angines, puis aussi mycobactéries, mycologie, analyses biochimiques,…) »

L’un des premiers à exploiter les compétences bactériologiques de René Boureau est le Dr. Edmond Chaumier (1853-1931) qui l’emploie dans son Institut Vaccinal pour contrôler le statut microbien des préparations de vaccin anti-variolique récolté sur les génisses (1). Par son action toujours discrète, René Boureau va permettre au vaccin Chaumier d’atteindre le « standard » sanitaire assurant une sécurité d’utilisation. Le contrôle bactériologique mis en place est jugé irréprochable et impressionne les autorités administratives inspectant l’Institut Vaccinal en 1905 (date à vérifier). Il cesse son activité auprès de l’Institut vaccinal en 1908, passant le flambeau au jeune vétérinaire Marcel Belin (1885-1950), futur fondateur en 1919 de l’Institut Bactériologique de Tours (IBT).  »Voir à reformuler quelque chose de plus « virologique » à propos de l’article de 1910 dans la RIV, en citant la réf. »

 »Décrire aussi ce qu’il a mis au point en biochimie pour les protéinuries. »
Quant à son laboratoire de Clocheville qu’il abandonne à sa retraite en 1914, lui succède le pharmacien Etienne Michelon (1870-), futur fondateur en 1928 de l’ »Association des Pharmaciens biologistes ».

Références

1 – Chaumier et Boureau Les microbes du vaccin. Gazette médicale du Centre 1896.

2 – RIV

Figures/illustrations

– Roux ?

– Tarifs pratiqués à la fin des années 1890 par René Boureau. Pub dans le petit livret présentant l’Institut Vaccinal (archives des religieuses de la Providence de la Pommeraye)

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