»’THIRIAL Hyacinthe-Éliézer (1810-63) »’. Thèse à Paris en 1833 (Diss. sur la chlorose ou les pâles couleurs des jeunes filles). Probable élève de Trousseau http://books.google.fr/books?id=qn_5ROqZ7ssC&pg=PA312&dq=thirial+trousseau&hl=fr&ei=iXurTNv7AsaAOrqw3b0H&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=9&ved=0CEsQ6AEwCA#v=onepage&q=thirial%20trousseau&f=false qui le considère comme « son ami » dans le chapitre consacré aux paralysies diphtériques (cliniques de l’Hôtel-Dieu), où il parle beaucoup d’Herpin et de Bretonneau http://books.google.fr/books?id=A9c_AAAAcAAJ&pg=PA376&dq=thirial+trousseau&hl=fr&ei=iXurTNv7AsaAOrqw3b0H&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=6&ved=0CD4Q6AEwBQ#v=onepage&q&f=false. En 1843, il signe la pétition menée entre autres par Velpeau et Trousseau en faveur de Vidal de Cassis et de Malgaigne http://books.google.fr/books?id=Bx0UAAAAQAAJ&pg=PA365&dq=dr-thirial&hl=fr&ei=JYOrTNnkBsPqOfKX2JAH&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CCoQ6AEwAA#v=onepage&q=dr-thirial&f=false
En 1845, dans le journal de Trousseau, il décrit une maladie nouvelle, actuellement connue sous le nom de sclérodermie, description qui sera suivie d’une querelle d’antériorité avec le Pr. Forget de Strasbourg (qui lui ne l’a décrite qu’en 1847, ignorant la première publication de Thirial). J.A. Villemin, le célèbre pneumologue militaire, fait partie des médecins qui citent ultérieurement cette première description http://books.google.fr/books?id=ejjlAAAAMAAJ&pg=PA744&dq=thirial+trousseau&hl=fr&ei=iXurTNv7AsaAOrqw3b0H&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=8&ved=0CEcQ6AEwBw#v=onepage&q=thirial%20trousseau&f=false
D’après Généanet http://gw2.geneanet.org/index.php3?b=jbvi&lang=fr;pz=emilie;nz=regaud;ocz=0;p=hyacinthe;n=thirial, il serait né à Luat dans l’Oise. Actuellement, cette commune n’existe plus, il n’y a que Fresnoy-le-Luat. Généanet indique qu’il s’est marié le 15 novembre 1841, à Vraignes (80) avec Emilie Aurélie Louvet, née en 1822, et qu’ils ont eu 3 filles, Alice, Esther et Pauline. Hyacinthe Thirial semble apparaître dans des registres de Ris-Orangis http://histoire.locale.free.fr/genealogie/liste.php?rch=t
Thirial, H. Du sclérème chez les adultes, comparé au sclérème chez les nouveau-nés; du parallèle entre ces deux formes diverses de la maladie, comme moyen d’en éclairer la nature. J. de méd. 1845; iii, 137; 161
Thirial, H. Du sclérème des adultes. Union méd. 1847; i, 422; 430
Thirial, H. Note pour servir à l’histoire de la maladie nouvelle appelée sclérème des adultes, ou sclérodermie. Union méd. 1847; i, 614 ( »article typique de quelqu’un qui revendique la priorité de sa découverte »)
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