»’CLARY Désirée »’ et sa descendance. Voir Wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9sir%C3%A9e_Clary.
»’CLARY Justinien »’, 3ème Comte Clary. Commandeur de la Légion d’Honneur (son dossier porte la mention « Vicomte »).
»’MOREAU Sophie »’ Victorine, »’ép BRETONNEAU »’ puis »’ép. CLARY »’ (1837-1918). Nièce d’un ancien élève de Bretonneau. Elle eut deux enfants (du comte Clary) du temps de son mariage avec Bretonneau, Justinien, ci-dessous, et Nicolas qui mourut vers l’âge de 15 ans. Elle eut ensuite deux autres fils avant son mariage en 1883 avec Justinien, le 3ème comte Clary ; ces deux garçons moururent jeunes également. Elle vivait entre Paris et Palluau, et fréquentait le milieu médical tourangeau, étant invitée chez les Lapeyre. Elle éleva une fille, Adine, en réalité Marie Alexandrine Berthier de Wagram, une fille née hors mariage d’un cousin de son mari, le 3ème prince de Wagram. Adine épousa Paul Legras de Grandcourt, médecin et ami de Louis Lapeyre.
»’BRETONNEAU Comte CLARY Justinien »’ Charles Xavier (Paris 20/4/1860-1933). 4ème Comte Clary. Comte Romain (1894-1895). Dr en droit, avocat auprès de la Cour d’Appel de Paris.
En 1879, il est fondateur de la Société des tirs d’Indre et Loire (ou Société de Tir « La Touraine ») qui sera dissoute en 1885. Il est fait mention de cette société (présidée par le Vicomte (sic) Clary) dans un article publié dans le Journal officiel de l’Exposition nationale de Tours en 1892 (n°24, p1-2). Gorce en était le trésorier ; en 1892, il est premier adjoint au maire.
En 1881, il obtient une médaille d’or du Ministre de l’Agriculture pour sa collection de Bégoniacées et une notice sur la famille des Bégoniacées.
En 1894, il fonde la société de Tir « Le Pistolet » et en devient le président. Cette société comptait 350 membres en 1903 ; c’est une école de Tir pratique au révolver et au pistolet de combat (voir dossier de Légion d’Honneur). Il est aussi membre du Conseil d’Administration de l’Union des Sociétés de Tir de France, et organisateur de tous les tournois internationaux de tir au commandement depuis 1896. En 1894, il est nommé membre de la commission des sports pour l’Exposition internationale de 1900 ; il est vice-président de la section de tir de cette exposition.
Fondateur (1898) et premier Vice-Président de la Société « Le Fusil de Chasse »
Il publie beaucoup d’article sur la chasse, les réserves de gibiers,… sous le nom de Comte Justinien Clary. Médaille de bronze en ? (trap shooting) aux Jeux Olympiques de 1900 http://en.wikipedia.org/wiki/Justinien_de_Clary. En 1903, il est fait Chevalier de la Légion d’Honneur en tant que président de plusieurs sociétés sportives, dont le Saint-Hubert Club de France et « Le Pistolet » ; les insignes lui ont été remis par Emile Loubet, président de la République. A cette date, il est déjà Grand Officier de l’Aigle Blanc de Serbie, Grand Officier du Royal Takovo de Serbie, Officier de l’Ordre de Gustav Vasa (Suède), Officier de l’Ordre d’Isabelle la Catholique. Il a contribué à la protection du gibier en contribuant à la répression du braconnage.
De 1921 à sa mort en 1933, il est le premier président de l’Union Internationale de la Chasse (regroupant les sports de tir au pigeon,…), structure qui établit les règlements sportifs internationaux pour toutes les disciplines de tir aux armes de chasse, et qui les représente aux Jeux Olympiques de 1924 à Paris. Une photo de lui se trouve sur le site qui présente l’historique de l’UIC http://www.fitasc.info/historique/. Il est aussi le co-fondateur du comité Olympique français dont il assure la présidence de 1913 à 1933, et Président du Saint-Hubert Club de France de 1903 à 1933. Voir l’histoire de cette société où on évoque Albert de Monaco, le Dr. Lannelongue et le Dr. Trousseau (un fils ?) [www.unapaf.com/docs/100ans-Saint-hubert.doc]. Voir Albert Ier de Monaco et la chasse à l’isard dans les Pyrénées http://www.lepasdoiseau.com/pdf/extra-isard.pdf. S’il a été proche d’Albert de Monaco (cf. infra), il est vraisemblable qu’il ait connu Charles Richet.
Voir ci-dessous deux textes sur Justinien Clary, l’un provenant d’un blog http://lolo33.rmc.fr/r1954/la-chasse/, l’autre provenant de l’ouvrage de Luc Antonini.
Grand Officier de la Légion d’Honneur en 1929 http://www.culture.gouv.fr/LH/LH028/PG/FRDAFAN83_OL0360077v001.htm en tant que Président du Comité des Jeux Olympiques ; les insignes lui ont été remis par Gaston Doumergue, président de la République.
»’HUTTEAU D’ORIGNY Antoinette »’ (1864-). Fille de Louis Hutteau d¹Origny et de sa seconde épouse, Léonida Carolina Nepper, Antoinette a un demi-frère issu du premier mariage de son père. Ce demi-frère, Antoine-Louis Hutteau d’Origny (1860-) fut lieutenant d¹infanterie. Antoinette épousé le 21 décembre 1885 Justinien Bretonneau-Clary, dont elle eut trois filles, Nicole, Ninette et Antoinette.
1 »’BRETONNEAU-CLARY Nicole »’ (1887-1962), fille de Justinien et Antoinette Bretonneau-Clary. Elle épousa en 1911 René Guyard de Chalambert (1869-1948) dont elle eut trois enfants, Guy, Louis-Jacques et Marie-Antoinette.
1-1 Guy épouse Jacqueline de Fresne de Beaucourt. Ils eurent 5 enfants, Anne née en 1948, épouse Jean-Philippe Aubouin, Solange, née en 1950, épouse Philippe Cérez, Geoffroy né en 1952, décédé avant 1973, Roselyne née en 1954 et Antoinette née en 1957. Jacqueline habite 10-12 rue Frémicourt, 75015 Paris, tel: 01 45 77 33 86
1-1-1 Anne de Chalambert et Jean-Philippe Aubouin habitent 15, avenue du Colonel Bonnet, 75016 Paris, sans enfants.
1-1-2 Solange de Chalambert et Philippe Cérez ont 3 enfants, Geoffroy (1982), Ghislain (1984) et Benoît (1987). Ils habitent 4, rue Pérignon, 75007, Paris, Tel: 01 43 06 20 99
1-1-3 Antoinette épouse Michel Aragou.
1-2 Louis-Jacques Guyard de Chalambert épouse Marie-Noëlle Béraldi. Ils eurent deux enfants, Béatrix (1943) épouse Louis de Vaulx et Isabelle(1945) épouse Jacque Detours.
1-2-2 Isabelle et Jacques Detours ont 3 enfants, Luc (1976), Martin (1978) et François (1981).
1-3 Marie-Antoinette de Chalambert épouse François Le Masson. Ils eurent deux enfants, Ludovic et Anne. Marie-Antoinette vit encore (87 ans) : tel. 01 46 05 75 66.
1-3-2 Anne Le Masson épouse Nicolas de Jerphanion, docteur en médecine, 3 enfants, Alix (1987), François (1989), Antoine (1992). Ils habitent 103 avenue A Morizet, 92100 Boulogne Billancourt. Tel: 01 46 84 01 95.
2 »’BRETONNEAU-CLARY Ninette »’ Justinienne Louise Marie (1888-1977), fille de Justinien et Antoinette Bretonneau-Clary. Elle épousa en 1909 à Georges de La Tour du Pin-Verclause (1885-1954) (vicomtesse de La Tour du Pin). Marie-Antoine Le Masson pense que c’est lui qui aurait pu être blessé pendant la guerre de 14 (cf. lettres de Louis Lapeyre) car il était militaire. Ils ont eu trois enfants, Gérard (1910-1917), Geoffroy (Paris 8/7/1914-23/12/1971) et Sybille de La Tour du Pin Verclause, née en 1920 et qui épouse Bertrand de Castelbajac.
2-2 Geoffroy épouse le 15/6/1941 à Pellevoisin Sylviane de La Rochefoucauld de Montbel (1915-1971), comtesse de La Rochefoucauld. Il était diplomate (ministre plénipotentiaire) ; il fut consul général de France à Sao Paulo en 1962. Geoffroy et Sylviane eurent un fils, Géraud de la Tour du Pin-Verclause et une fille Véronique.
2-2-1 Géraud épouse Sonia Saba. Ils eurent un fils, Guy (1975). Sonia habite toujours au château de Combourg et fait visiter son domaine http://www.saint-malo.maville.com/actu/actudet_-Actualit%C3%A9_-684586_actu.Htmhttp://www.combourg.net/page4.htm.
2-3 Sibylle de la Tour du Pin-Verclause et Bertrand de la Rochefoucauld sont à priori divorcés. Elle apparaît sous son nom de jeune fille avec deux anfants, Anne (1960) épouse Pascal Dufour et DIane (1961). Anne et Pascal DUfour habitent Villa Adrienne, 19 avenue du Général Leclerc, 75014 Paris. 3 enfants Nicolas (1988), Arnaud (1990) Thomas (1996).
3 »’BRETONNEAU-CLARY Antoinette »’ (1894-1934), fille de Justinien et Antoinette Bretonneau-Clary. Elle épousa en 1ères noces à Paris, en 1913, Paul Louis Marie Aymé de La Chevrelière http://gw0.geneanet.org/index.php3?b=croisade&lang=fr;p=paul+louis+marie;n=ayme+de+la+chevreliere, fils de Marie Flavigny et d’Emile Maurice Aymé de la Chevrelière, maire de Paizay-le-Tort en 1885, propriétaire des châteaux de Melzéar et de Saint-Benoît dans la Vienne. Ils ne semblent pas avoir eu d’enfants (voir tout de même si Marie-Magdeleine Aymé de la Chevrelière, née à Paris en 1906 et députée UDR de 1968 à 1973 http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/trombinoscope/Vrepublique/Legis04/ayme-de-la-chevreliere-madeleine-11051906.asp ne serait pas apparentée). En secondes noces, Antoinette épousa en 1923 Georges Scapini (1893-1976), aveugle de guerre, qui devint député en 1928. Devenu veuf en 1934, il glissa vers l’extrême-droite, vota les pleins pouvoirs à Pétain et eut des responsabilités importantes sous Vichy http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Scapini.
Il n’y a pas de descendance d’Antoinette, G Scapini se remarie ensuite.
BRETONNEAU-CLARY Louise ?? Ninette plutôt ?
»Textes »
Un blog sur la chasse parle de lui http://lolo33.rmc.fr/r1954/la-chasse/. Je préfère recopier ici pour être certain de ne pas perdre le texte.
(…), je suis certain que vous pouvez vous représenter ce petit bonhomme à la longue barbe noire portant une cravate rouge qui se dépêche de prendre son train gare d’Austerlitz. Ses porteurs vacillent sous le poids d’un grand sac, de deux étuis doubles à fusils et de ses valises à cartouches…. Nous sommes le 12 octobre 1902 et le Comte Clary se rend à une invitation de chasse à Sully sur Loire par le « rapide » de 7 h 02. Un personnage mythique Justinien Clary. Né en 1860, décédé en 1933, il fut Président pendant 15 ans du Saint-Hubert Club de France, Grand Officier de la Légion d’Honneur… Et surtout, surtout, il a été considéré comme le meilleur « fusil » de battue au petit gibier de France pendant rien moins qu’une cinquantaine d’années.
Quand on feuillette quelques vieux livres de chasse ou d’anciennes revues du Saint-Hubert Club, il semble que celui-ci ait consacré sa vie à la chasse. Redoutable tireur de pigeons vivants, il a été le conseiller cynégétique du baron Henri de Rothschild, propriétaire de la chasse des Vaux de Cernay, ainsi que le compagnon de chasse du Prince Albert de Monaco (lui-même personnage extraordinaire, passionné par la chasse à la bécasse aux chiens d’arrêts)
Reconnaissable à sa longue barbe, le Comte Clary est décrit comme un homme affable, d’humeur constante, d’une grande droiture morale qu’il à démontré pendant la Grande Guerre. Ces qualités lui ont permis d’approcher ses contemporains au pouvoir, Rois, présidents, princes, ministres… (…)
La chasse la plus prestigieuse fut celle du 8 décembre 1905, organisée pour le roi du Portugal, Don Carlos, aux Vaux de Cernay où, bien sûr, Justinien Clary tenait le double rôle d’organisateur et de chasseur. Étaient présents le prince de Monaco, Henri de Rothschild, le prince de Lucing, en tout 12 « fusils » se trouvaient postés à la ligne. […] Le roi du Portugal est au centre, à sa gauche le prince de Lucinge, et à sa droite le prince de Monaco (qui chassait avec deux fusils semi-automatiques 5 coups). (…)
Il faut bien comprendre qu’aucun lâcher n’a été effectué pendant cette chasse ! Le comte Clary dans son rapport édité par le Saint-Hubert club de France, estime que dans les huit battues, il est passé environ 18 000 faisans et 500 canards sur la ligne. Le tableau explique-t-il, donne une moyenne exacte de 400 pièces ramassées par chasseurs. Si on estime qu’il n’y a eu que quatre heures de chasse réelles, il a été tiré une pièce toutes les trois secondes et une cartouche par seconde.
Beaucoup trop modeste Justinien Clary…. La vérité est que son tableau personnel, d’après ses chargeurs, se compte aux alentours de 800 pièces.
Les autres grands territoires de chasse célèbres où a « sévi » le champion de la chasse en battue sont nombreux : Vaux-le-Vicomte, Breteuil, Dampierre, Chambly, Lumigny, la lanterne ( parc de Versailles) Rochefort en Yvelines, Romainville ( près d’Equevilly) Le Marais ( près de Saint-Chéron) Voisins ( près de Rambouillet) Coutances, Sully-sur-Loire….
Le comte possédait des fusils juxtaposés en calibre 12 d’une longueur inhabituelle pour nous de 80 cm, très courant à cette époque. (…) Notre homme est tellement passionné qu’un accident de chasse qui lui fait recevoir six plombs au visage (l’imprudent est un ministre en exercice) ne l’empêchera de chasser que pendant trois jours.
Il porte une cravate « rouge », emblème des tireurs réputés et de hauts niveaux. Le grand concurrent de Justinien Clary a été le comte Raoul de Quélen, qui utilisait uniquement des fusils calibre 20. Les deux rivaux évitaient de se poster l’un à côté de l’autre les jours de grande chasse…
Plusieurs journées de chasse ont rendu le comte célèbre : invité en Écosse au Moy-Hall par le roi Edouard VII, Justinien Clary ramasse dans la même battue 107 grouses.
Au Lys, battue célèbre, il tue en trois minutes 98 faisans avec 104 cartouches. Á Marchais, ce sont 28 perdreaux qu’il abat avec 31 cartouches. Puis il bat le record de l’Abbaye : 816 faisans pour 1100 cartouches en 8 battues. Encore plus surprenant, au même affût, quatre fois quatre perdreaux avec deux fusils, c’est à dire deux tués devant avec un premier fusil, puis deux autres derrière avec un second fusil, aidé bien sûr par un chargeur.
Á cette époque, toute pièce tuée était comptabilisée, c’est pourquoi nous connaissons aujourd’hui, la quantité exacte de son tableau de chasse. A la fin de sa vie, Justinien Clary annonçait un tableau de 344 906 pièces, dont 70 634 perdrix et 125 746 faisans. Il a laissé dans le milieu de la chasse et du tir aux pigeons vivants, l’image d’un très grand fusil doublé d’un homme droit et honnête.
Extrait de l’ouvrage de Luc Antonini (communiqué par lui)
Justinien Bretonneau-Clary, (1860-1933) un grand gentilhomme du sport.
Justinien Bretonneau-Clary, né à Paris le 20 avril 1860, il n¹avait pas
encore sept ans qu¹il montait déjà sur le vélo du père Michaux, il était
de l¹époque où l¹on faisait du sport presque sans le savoir, alors que les
jeux athlétiques n¹avaient ni leur charte, ni leurs disciplines, ni leurs
fédérations.
Propriétaire du château de Palluau à Saint-Cyr-sur-Loire, il demeure surtout
à Paris au 4, rue Bayard, et exerce la profession d¹avocat.
Il épouse le 21 décembre 1885 Antoinette Hutteau d¹Origny, née le 29 octobre
1864, fille de Louis Hutteau d¹Origny et de sa seconde épouse, Léonida
Carolina Nepper. Antoinette a un demi-frère issu du premier mariage de son
père : Antoine-Louis Hutteau d¹Origny, lieutenant d¹infanterie, né en 1860.
Habile chasseur comme son père, il est l¹un des premiers fusils de France.
Il aurait tué 245 000 pièces de gibier en 55 ans, et selon d¹autres, 344 906
pièces au cours de sa vie (on peut admirer l¹extrême précision du nombre).
Il passait pour un chasseur très calme, posé, prompt sans être pressé, au
coup d¹¦il sûr. Justinien Bretonneau-Clary s¹occupe beaucoup de sociétés de
tir ; il fonde le Pistolet en 1894, puis le Fusil de chasse . Il devient
membre de la Commission des Sports à l¹Exposition Universelle de 1900 ; il
organise des concours internationaux de tir au pistolet. Il est élu
président du Saint-Hubert Club de France. Il chasse avec l¹empereur
Guillaume II de Prusse, et il est membre du Comité national de la Fédération
sportive et du Comité olympique français. Il se bat pour que les femmes
aient leur place lors des épreuves sportives contre l¹avis de Coubertin. En
1909, il publie «Le braconnage et le moyen de le réprimer» et préface nombre
d¹ouvrages consacrés à la chasse. Comme son père, il peint et ses oeuvres
sont également exposées au Salon. De sa peinture demeurent surtout des
scènes de chasses.
Justinien Bretonneau Clary était connu dans la société de l¹Europe entière,
non seulement parce qu¹il était homme du monde et ³fusil² de premier ordre,
mais aussi parce qu¹il était foncièrement bon. Sa simplicité, son urbanité,
sa culture littéraire et artistique auraient révélé en lui le philanthrope
s¹il n¹avait acquis d¹innombrables titres de reconnaissance grâce à la mise
au service du bien public d¹une partie de son activité. Justinien possédait
la villa le Val Fleury à Ver sur mer, dans le Calvados. Il est mort à Paris
le 13 juin 1933, à son domicile du 17, place des Etats-Unis, dans le 16ème
arrondissement.
Justinien et Antoinette Bretonneau-Clary sont les parents de trois filles :
a) Nicole Bretonneau-Clary (1887-1962), mariée à René Guyard de Chalambert,
b) Ninette Bretonneau-Clary (1888-1977), mariée en 1909 à Georges de La Tour
du Pin-Verclause,
c) Antoinette Bretonneau Clary (1894-1934), qui épouse en 1ères noces à
Paris, en 1913, Louis Aymé de La Chevrelière, fils d¹Emile Maurice, maire de
Paizay-le-Tort en 1885, propriétaire des châteaux de Melzéar et de
Saint-Benoît dans la Vienne, et de Marie Flavigny. Il est intéressant de
souligner les liens unissant les La Chevrelière aux Bonaparte. En effet,
l¹arrière-grand-oncle de Louis de La Chevrelière, le général Aymé
(1770-1852), baron d¹Empire et aide de camp de Murat, est appelé par
celui-ci lorsqu¹il monte sur le trône de Naples. Murat sera le parrain de
son fils aîné. Des souvenirs de ce parrain illustre sont toujours présents
au château de Cazeneuve, à Préchac en Gironde. En secondes noces, Antoinette
épouse en 1923 l¹ambassadeur Georges Scapini, responsable du service
diplomatique de Guerre.
»Sources »
Propriété de Palluau http://saintcyrsurloire.zegrange.com/proprietes/palluau_txt.htm
Ouvrage de Luc Antonini
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