Chevé

 »’Chevé Émile »’ Joseph Maurice (1804-1864). Chirurgien de marine. Thèse à Paris en 1836 (Relation des épidémies de fièvre jaune qui ont régné à Gorée et à Saint-Louis (Sénégal) pendant l’hivernage de 1830). Sorte de musicothérapeute ? http://books.google.fr/books?id=Y-YsAAAAYAAJ&pg=PA45&dq=chev%C3%A9&hl=fr&ei=CDwmTfOjGIOEOs2egPcC&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=2&ved=0CDAQ6AEwAQ#v=onepage&q&f=falsehttp://books.google.fr/books?id=EOMsAAAAYAAJ&pg=PA10&dq=chev%C3%A9&hl=fr&ei=CDwmTfOjGIOEOs2egPcC&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=3&ved=0CDQQ6AEwAg#v=onepage&q&f=falsehttp://books.google.fr/books?id=4i4sAQAAIAAJ&printsec=frontcover&dq=chev%C3%A9&hl=fr&ei=CDwmTfOjGIOEOs2egPcC&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=4&ved=0CDkQ6AEwAw#v=onepage&q&f=false. Nécrologie par Caffe, P.-L.-B. dans J. d. conn. méd. prat. 1864; xxxi, 384. Lien avec les suivants ???

 »’Chevé Alexis »’ (1872-). Médecin. Thèse à Paris en 1899 (De l’érysipèle des enfants nouveau-nés et à la mamelle)

 »’Chevé »’ Marie Louis  »’Fernand »’. Né le 18 octobre 1874 à Martizay dans l’Indre. Fils de Jean, Louis Chevé (Notaire) et de Marie, Julie, Hilarine Ombredanne. Il est de la famille de Louis Ombredanne ce dernier étant l’un de ses témoins de mariage, son cousin probablement. Ses témoins sont Cancalon Auguste, docteur en médecine à Blois (53 ans lors du mariage), Barabeau Gaston, pharmacien à Arcachon (58 ans), Ombredanne Louis, professeur agrégé de médecine à Paris (38 ans) et Doutrebente Gabriel, médecin es chef honoraire à Tours (63 ans).
Il se marie le 1er août 1907 avec Lucie Jeanne Mathilde Mercier, à Valeuil (Dordogne), le père de la mariée était le maire de cette commune. Ils auront deux enfants.
Chirurgien, exerce dans le canton de Tours Centre, réside à Tours, obtient son diplôme le 31 mars 1905 (Le tampon en obstétrique; étude historique), à Paris, enregistré à la Préfecture d’Indre-et-Loire le 24 juillet 1905. En 1936, il est chirurgien chef de l’hôpital de Tours. Dans son dossier, il est aussi noté comme chirurgien des Hôpitaux de Paris, il y a été interne. Au début de la guerre, il était directeur du service d’hygiène de la ville de Tours.

Mobilisé le 2 août 1914 comme médecin auxiliaire, il arrive au corps le 12 août. Promu Médecin aide-major de 2e classe le 30 août, le lendemain il est affecté à l’hôpital mixte d’Angers. Le 25 septembre 1915 il est affecté à l’HC 22 de Cholet et devient chirurgien de la Place de Cholet sous les ordres de Lapeyre. Le 27 juin 1916 il est désigné pour la gare de répartition de Creil mais est désigné le même jour pour une équipe chirurgicale volante (pouvant être affectée partout dans la zone de l’armée). Il ne reste dans cette formation que quelques jours puisque le 1er juillet il est affecté à l’autochir n°20. Le 30 août 1916 il est nommé Médecin aide-major de 1re classe. Le 14 janvier 1918 il est affecté à l’hôpital mixte de Niort, puis le 10 juin, il est nommé chef d’équipe chirurgicale fixe A n°922 (pouvant pratiquer des opérations importantes). Il est démobilisé le 27 janvier 1919.

En 1919, il propose un Nom des salles à l’Hôpital Général. Il est présent aux obsèques de Boureau en 1936.

 »’Chevé Jean »’ Lucien (1908-). Médecin. Thèse à Paris en 1936 (« Diagnostic bactériologique de la tuberculose dans les épanchements pleuraux »). Travaille avec Emile Roux (?) sur le méningocoque et avec Dujarric de la Rivière.

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