»’PATRIGEON Adolphe »’. Le « Bulletin de la Société des agriculteurs de France » en 1886 le recense comme négociant et propriétaire à Guilly par Vatan, [introduit] par MM. le Dr G. Patrigeon et Léon Valin (maire de Parpeçay). En 1895, un M. Patrigeon (sans prénom), résidant au château du Prieuré-de-Juilly, par Vatan (Indre), est donateur à l’ Oeuvre des enfants tuberculeux de Touraine en 1895. Il semble y avoir une erreur d’orthographe dans le livre d’or car il n’y a pas de nom de lieu « Juilly » à Vatan, mais bien « Guilly », et même un prieuré http://www.leprieure-centre.fr/. Il s’agit donc très probablement du même personnage.

 »’PATRIGEON »’ Jean Pierre  »’Gabriel »’. Lien de parenté avec le précédent ? MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More, thèse à Paris en 1877 (« Recherches sur le nombre des globules rouges et blancs du sang à l’état physiologique et dans un certain nombre de maladies chroniques »), avec un article la même année sur le même sujet (« Etude sur la numération des globules rouges et blancs du sang »), qu’il publie avec un certain Meunier. Il est aussi l’auteur en 1887 de :
 »Le Mildiou, son histoire naturelle, son traitement, suivi d’une description comparative de l’érinose de la vigne ». Il est cité dans le « Journal d’Agriculture pratique » comme viticulteur en 1906.
Il est également cité dans la « Gazette hebdomadaire de médecine et chirurgie » en 1884, ainsi que dans la « Revue horticole » et les « Comptes rendus des travaux de la Société des agriculteurs de France » en 1890, où il est déclaré habitant Chabris (nord de l’Indre, sur le Cher). Compte tenu de la date de soutenance de sa thèse, il est à peu près du même âge qu’Edmond Chaumier, et originaire finalement de la même région. Pas de preuve néanmoins qu’il soit passé par l’Ecole de Médecine de Tours.