»’Monod »’ Jean Emile Théodore (29/12/187516/02/1963). Né à Mézière-en-Drouais, fils d’André John William Honyman et de Marie Valette. Y a-t-il un lien avec toute la famille Monod ? Spécialiste en Stomatologie mais aussi licencié en droit (1904), il réside à Vincennes avant la guerre.
Ancien médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More militaire, il débuta sa carrière comme médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More stagiaire le 1er février 1900 et démissionna le 17 juin 1911, il avait alors le grade de MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More Major de 2ème classe, grade qu’il conserva.
Externe des Hôpitaux de Paris de 1896 à 1899. Interne en 1898 à la Maison Nationale d’Aliénés de Charenton.
Il passe sa thèse avec la mention honorable en 1899 à la Faculté de Médecine de Paris : « Des fistules urinaires ombilicales dues à la persistance de l’ouraque et de leur traitement. ». Il est chirurgien dentiste de la Faculté de Paris en 1906 (mention très bien). Il fut chef du service stomatologique du Val-de-Grâce de 1907 à 1911. Il est aussi professeur en prothèse chirurgicale à l’Ecole de stomatologie de Paris en 1909. MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More sanitaire maritime en 1911. Inspecteur Général au Ministère de l’Intérieur en 1911. Plus tard il devint Professeur honoraire à l’Ecole française de stomatologie.
Il fut membre de diverses sociétés : conseil supérieur d’hygiène publique de France (1918-1925), conseil supérieur de l’assistance publique (1922), société de Pathologie comparée.
Il obtint divers prix, il fut notamment lauréat de la Faculté de MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More de Paris en 1899. Il écrivit plusieurs articles et rapports. Il a beaucoup travaillé sur le milieu pénitentiaire et l’assistance publique.
Au début de la guerre il est nommé médecin-chef de l’ambulance 8/21, formation qu’il ne quitta que le 12 avril 1916 avec le grade de MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More Major de 1ère classe qu’il obtint le 25 décembre 1914. Puis il semble qu’il fut affecté à la gare de régulation de Creil, son dossier militaire indique R.P.S.G.R. Il n’y reste que peu de temps car le 26 avril il est transféré au gouvernement militaire de Paris et plus précisément à l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More Michelet. Il quitte cette formation le 22 mai 1916 pour rejoindre la 9ème région militaire et l’HC 26 (école, 33 rue Origet) à Tours. Il est alors le chef du centre maxillo-facial de la région. Il reste dans cette formation jusqu’au 4 octobre 1917, date à laquelle il est mis à la disposition du Ministère de l’Intérieur pour faire partie de l’Inspection Générale des Services Administratifs. Il est démobilisé le 24 octobre 1919.
Il obtient une citation à l’ordre de l’Armée le 5 octobre 1915 :
« Au cours du combat de Badonviller sa formation étant exposée à un bombardement violent, il a su par sa fermeté et son initiative heureuse évacuer plus de deux mille blessés en quelques heures. Promu quelques mois après M. M. de 1ère classe et chargé de la Direction d’un service de typhique et plus tard d’organiser un grand service de contagieux, il a fait preuve dans ces dernières circonstances d’un grand dévouement, d’une inlassable activité et de connaissances techniques étendues. ».
Le 25 décembre 1916 il est fait Chevalier de la Légion d’Honneur, puis Officier le 19 septembre 1920 et enfin Commandeur le 11 novembre 1924.
Source : SHD 6 Ye 43 716.
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