»’GOURDIN Adolphe »’ Albert Auguste (Chambon-la-Forêt (Loiret) 1865 – Tours 1921). Pharmacien  Celui, celle qui est titulaire du diplôme d’État déliv… More de 1ère classe installé à Tours, 13 rue Nationale. Une facture de 1903 (fonds Watier C008P) indique qu’il est le successeur de la pharmacie Pillet et Faré, que lui-même est lauréat de l’Ecole de Médecine et de Pharmacie, et qu’il est le fournisseur titulaire des hospices de Tours pour les appareils d’orthopédie. Il s’associera plus tard à Sulblé. La Grande Pharmacie (Gourdin & Sulblé), 13 rue Nationale et 2 rue du Commerce à Tours, insère des publicités dans la Touraine artistique (4ème de couverture), avec gravure de l’immeuble et de la devanture. Il y est dit que cette pharmacie avait été fondée au début du XIXème siècle par Margueron, membre correspondant de l’Académie de Médecine et créateur du Jardin botanique. La publicité dit aussi que : « le Dr Bretonneau lui accorda toute sa confiance et vint souvent s’entretenir avec lui de questions de pharmacologie »

Pharmacien-Directeur de la « Grande Pharmacie », des Laboratoires Gourdin (qui deviendront les laboratoires
Gourdin et Sulblé), et des Laboratoires de la « Spéciale Thérapie » à Tours respectivement au 13 rue Nationale,
à l’Impasse du Manège et au 4 rue Paul-Louis Courier (de 1895 à 1921).
Il fut un pionnier des premiers laboratoires pharmaceutiques français. Il produisit en particulier à grande échelle
la « Képhalgine » qu’il introduisit avec d’autres spécialités par le biais de commerciaux dans le Grand Ouest (Bretagne, Normandie, et départements limitrophes de l’Indre-et-Loire). La réclame était son point fort. Il faisait tenir à jour un fichier de tous les Médecins, Pharmaciens et Vétérinaires des départements visités avec des annotations précises.

Son fils, André Marie Adolphe Louis Gourdin (1899-1982) se maria en 1929 avec Renée Sendrier, l’aînée du Dr. Sendrier.

Dominique Gourdin est le petit fils d’Adolphe Gourdin et du Dr. Sendrier (dom.gourdin@gmail.com)

 »’GOURDIN »’ R.  »’Alfred »’ (né à La Haye-Descartes ; mort <1926). Elève de l'Ecole de Médecine de Tours, . Thèse à Paris en 1884 (Contribution à l'étude de l'œdème des nouveau-nés), qu'il dédie à Pinard. '''GOURDIN Henri-Emile''' (Draché, 3/8/1887 - ). Fils du précédent. Thèse à Paris en 1926, à presque 40 ans (Contribution à l'étude du lymphosarcome médiastinal). Elève de Laignel-Lavastine. Passage par l’Ecole de Médecine de Tours ?