»’CASTELAIN Fernand Jean-Baptiste Louis »’ (14/10/1875 – ?) (SHD 5 Ye 159 796). Né à Lille, fils de Fernand Eugène CASTELAIN et de Marie Eugénie Henriette DESROUSSEAUX.
Docteur en médecine de la Faculté de Lille en 1901. Il a été interne des hôpitaux de Lille, moniteur et chef de clinique des Quinze-Vingts. MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More oculiste de l’Hôtel-Dieu de Douai, il semble s’être établi à Paris avant la guerre 1914-1918. Il est membre correspondant de la Société d’Ophtalmologie de Paris et membre de la Société Française d’Ophtalmologie.
Soldat de la classe 1895, il est nommé médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More auxiliaire le 30 janvier 1901, puis médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More aide-major de 2ème classe le 7 juin 1902, et le 11 août 1905, médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More aide-major de 1ère classe. Il est mobilisé le 2 août 1914 et mis à la disposition du 1er Corps d’Armée. Le 6 septembre il est affecté à la 9ème région, puis le 19 à l’HC 30 de Tours dont il devient le médecin-chef. Suite à l’arrivée du docteur Terrien il devient son assistant au service central (9 février 1915). Le 16 janvier 1916 il est promu médecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More major de 2ème classe. Le 21 août il est mis à la disposition de la Réserve du Personnel Sanitaire de la 5ème Armée puis le 5 septembre il est affecté au 89ème Régiment Territorial d’Infanterie. Le 4 octobre 1916, il est affecté à l’ambulance 1/38, au service d’ophtalmologie. Le 23 avril 1917 il est affecté à l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More Villemin et détaché à l’hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More Lariboisière. Il est démobilisé le 28 janvier 1919 et est rayé des cadres le 4 novembre 1924.
Il est blessé en service commandé le 7 février 1915 : « En vidant l’œil d’un malade avec la curette, a reçu du pus dans son œil droit, a continué néanmoins à opérer et n’a consenti à se soigner qu’une fois le pansement terminé. ». Il obtient la Médaille d’honneur d’argent des Épidémies le 19 février 1916.
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