Bourdier

 »’BOURDIER Edouard »’ (né à Saint-Aignan). Ancien externe des hôpitaux de Paris, moniteur à la clinique d’accouchement et de gynécologie de la Faculté. Thèse à Paris en 1895 (Insertion vicieuse du placenta et tamponnement vaginal), qu’il dédie au Dr. Gaston Tourangin, Chevalier de la Légion d’Honneur et à Tarnier, son maître.

 »’BOURDIER Ferdinand »’. Neveu de Pierre-Félix Guillomot, industriel en Côte d’Or http://www.patronsdefrance.fr/Documents/patrons/AC000009360/AC000009360Doc2317.pdf. Médecin ophtalmo, ancien interne des hôpitaux de Paris (promo 1907), ancien chef de clinique à l’Hôtel-Dieu. Thèse en 1911 (Méninges optiques et méningites optiques primitives). Chef de laboratoire à la Faculté de Médecine de Paris. Il publie avec Emile-Marie Emery en 1912 sur « Résultats actuels de la salvarsanothérapie dans les complications nerveuses et oculaires de la syphilis ; traitement chronique intermittent ». Il est mentionné à propos de l’Hôpital français de Kiev (1917-1918) http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1976x010x003_4/HSMx1976x010x003_4x0162.pdf

Secrétaire adjoint de l’Union tourangelle à Paris en 1913 (Raymond Sainton en est alors le président), on peut penser qu’il a des liens avec Tours et/ou qu’il a fait ses études de médecine à Tours (à vérifier).

Le « Tout-Paris » de 1926 semble indiquer qu’il a la Légion d’Honneur (à titre militaire ? 14-18). Il y a effectivement un Ferdinand René Marie Antoine Bourdier, né le 23/11/1878 à Autun, mais dont le dossier n’est pas accessible en ligne.

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