Hôpital militaire

 »’Hôpitaux militaires »’

Pour les généralités, voir http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/page/affichepage.php?idLang=en&idPage=7966

 »’Voir aussi un premier recensement »’ http://www.pages14-18.com/pagesDocuments/hopitaux/regions/9RM.htm

Le conflit 1914-1918 nécessita apparemment d’implanter en Touraine de nombreux établissement chargés d’accueillir les blessés, dénommés hôpitaux temporaires et relevant apparemment du 9ème Corps d’Armée implanté à Tours. On peut supposer que l’hôpital militaire (permanent) localisé dans l’hospice général (Cour des militaires actuelle à l’hôpital Bretonneau) ne suffisait pas…

Localisation des établissements :

L’hôpital militaire du 9ème Corps était localisé à l’Ecole Supérieure de jeunes filles.

 »’Hôpital temporaire n°31 »’, implanté à Sainte-Radegonde, sur le site de l’abbaye de Marmoutiers. René Boureau y fut chirurgien.

 »’Hôpital temporaire n°32 »’, implanté dans le Grand Séminaire de Tours, au nord (rue Losserand). Il était placé sous la responsabilité de Georges Le Manach (gendre Demonté), et le médecin-chef en était Edmond Chaumier.

Hôpital temporaire n°37, implanté à Saint-Joseph (école ?) sur la commune de Sainte-Radegonde.

Hôpital temporaire dans le groupe scolaire Mirabeau à Tours

Hôpital temporaire n°2 dans la caserne Baraguey Hilliers ??

Il y avait par ailleurs à La Bretèche, un hôpital auxiliaire, administré non par l’armée mais pas la Société de secours aux blessés militaires

Voir le statut du centre d’hébergement installé à Villandry, par Joachim Carvallo.

Apparemment, le château de Bel-Air à La Membrolle, qui devint ensuite sanatorium, était un centre d’accueil pour blessés.

Le Dr. Druault, bien que lui-même très malade, exerça dans l’un de ces hôpitaux temporaires pour se rendre utile. Lequel ??

A la fin de la guerre, il fallut aussi des Centres de Réadaptation ou de Rééducation. L’un d’eux se trouvait à Joué-les-Tours, dans ce qui avait été la nouvelle caserne du 9ème groupe cycliste (voir CPA avec bicyclettes en faisceaux). René Boureau prit une part active au fonctionnement de ce centre, en « inventant » de nombreux « dispositifs » et « prothèses » adaptées.

 »Sources »

Voir nombreuses cartes postales anciennes.

B.Marc, Les infirmières dans les premiers temps de la guerre de 1914-1918. Histoire des Sciences médicales, 2002.

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *