»’LIEFFRING Emile »’ (Reims, 22/6/1866-). Thèse à Paris en 1894 (De l’Ectopie de la rate, n°516). Fut chirurgien à Tours et prit la suite de Louis Lapeyre. Fut l’élève d’Henri Hartmann (notamment son externe) http://www.sfc.asso.fr/glossaire/definition_732_hartmann+.html?PHPSESSID=e496ed13096e276c7830f81cc05030d1 (un proche de Quénu ?)
»’LIEFFRING Jean-Jacques »’ (1903-). Entre à la Société d’Anthropologie de Paris en 1925, sous la présidence de Louis Dubreuil-Chambardel dont il avait été le prosecteur (vers 1924). Interne (provisoire ?) à Bichat en 1929 http://web2.bium.univ-paris5.fr/livanc/?cote=internat13&p=12&do=page. Nommé interne des Hôpitaux de Paris en 1931. Thèse à Paris en 1935 (Les Glandes vulvo-vaginales ou glandes de Bartholin, morphologie et rapports, N ̊ 236). Professeur à l’Ecole de Médecine de Tours à partir de 1930-31 ??? Retraite en 1973, remplacé par Jacques Barsotti.
Il publie notamment : Aron E, Benatre A, Lieffring JJ, Roy B, Alfandari JP. Arch Fr Mal App Dig. 1968 Jun;57(4):425-36.
»’LIEFFRING Robert »’ (1907-). Thèse à Paris en 1934 (L’Étude du profil en orthodontie. Travail du service d’orthodontie du docteur Izard de l’École française de stomatologie, N ̊ 75). Publie dans les années 1948-49 (PubMed). Président de la Société Odonto-stomatologique de Tourainerégion More en 1951. Membre de la Société Archéologique de Touraine.
»’LIEFFRING Nicolas »’, MédecinPersonne habilitée à exercer la médecine après avoir ét… More, exerce dans le canton de Tours Centre, réside à Tours, obtient son diplôme le 1er octobre 1895, à Paris, enregistré à la Préfecture d’Indre-et-Loire le 10 janvier 1895. Dégagé de toutes obligations militaires ou bien classé dans le service auxiliaire, il officie au début de la guerre dans un hôpitalÉtablissement public habilité à recevoir les malades, les… More auxiliaire, probablement l’HA 103 (sa femme semble y travailler). Chirurgien généraliste.
»Sources »
Lieffring Jean-François, 29, rue Emile-Zola, 37000 Tours. Tél. : 02-47-05-45-50. Expert stomato près la cours d’appel d’Orléans (thèse en 1968)
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